Tes jours sont compter, pétasse. -Z

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Chapitre V:

Louis prit le bout de papier et le brûla avec son briquet.

Louis: J'espère que cette histoire finira vite.

Dylane: Tu fume ?

Louis: Ce n'est pas le sujet il me semble. Et non je ne fume pas.

 

J'eu le tournis pendant l'espace de quelques secondes. Je posa ma main sur ma tête.

Dylane: Je crois que je vais rentrer chez moi, je ne me sens pas très bien..

Louis: Tu veux que je te ramène ?

Dylane: Non ça va aller !

Louis m'accompagna à l'infirmerie, puis à l'entrée du lycée.

Louis: Tu m'envoie un message quand tu es rentrée d'accord ?

Je lui fis signe "oui" de la tête, il m'embrassa et je pris le chemin de ma maison.

J'écoutais de la musique en regardant le sol. J'ai charger Louis de dire à Eléonore que je rentrer.

Je continuais de marcher, quand en l'espace d'une minute, je fus assommée.

J'étais encore un peu sonnée quand je me rendis compte que je me trouvais dans une voiture, côté passager.

Voix: Il était temps que tu te réveille !

Dylane: Zayn ?

Zayn: Content de te voir aussi !

Dylane: Comment est-ce que tu savais que je rentrer chez moi ?

Zayn: Ton copain fait partit de ma bande je te rappelle.

Dylane: Qu'est-ce que tu veux ?

Zayn: J'ai pas encore trouver le con qui se fait passer pour moi.

Dylane: Il ou elle ne se fait pas passer pour toi. J'ai encore reçu un message..

Zayn: Il disait quoi ?

Dylane: Qu'il ou elle était bien pire que toi. Je l'ai reçu avec un couteau. Enfin le couteau a atterri sur un arbre.

Zayn: Et il ta pas transpercer la tête ? C'est bien dommage, sa m'aurait éviter de le faire.

Je ne répondis pas a cette remarque.

Zayn: posant sa main sur ma cuisse : Bien maintenant qu'on est seul, tout les deux, sans Louis dans les parages, on va pouvoir passer à la vitesse supérieur. Qu'est-ce que tu en pense ?

Il déboutonna mon jean tout en continuant de conduire. Il passa sa main sous mon t-shirt et caressa ma poitrine. Je n'en pouvais plus de ça.

Je chercha une solution pour me sortir de cette situation.

Je sentie la main de Zayn qui commencer a passer dans mon jean.

A partir de là je prier pour que je survive. Je me détacha, ouvrit la portière et je me jeta hors de la voiture.

Je rasa la route essayant tant de bien que de mal de m'accrocher a quelque chose. Ma tête se cogna sur la route. Je percuta un arbre qui m'arrêta. J'essaya de me relever, mais je retomber aussitôt. Je vis que j'avais entrainer mon sac dans ma chute, il n'était pas très loin de moi. Je m'accrocha a l'arbre, je tenta de me lever une deuxième fois. Celle-là c'était la bonne. Je marcha avec beaucoup de difficulté jusqu'à mon sac. J'entendis une voiture faire un dérapage et redémarrer en trombe, je me retourna, je reconnue la voiture de Zayn. Je pris mon sac et je m'enfonça dans la forêt. Je ramassa un bâton afin de mieux marcher. Je marcha longtemps, au moindre bruit que j'entendais, je sursauter. Je me dirigea au bord de la route. Il y avait un panneau indiquant le nom de la ville "Rochester", j'y suis arriver.

Au moment où j'entrais dans la ville, les gens me regarda bizarrement. Il faut dire que je n'étais pas dans un très bon état. Je devais sûrement avoir ma cheville droite foulée, le genoux gauche fracturé, mes côtes cassées, j'avais beaucoup de mal a respirer.

Je regarda mon téléphone, il était enfin débloquer. J'alla m'assoir sur un banc et appela Louis.

Louis: Oui ?

Dylane: Lou..

Louis: Qu'est-ce qui ce passe ?

Dylane: Zayn.. Viens me chercher à l'entrée de..

Je tomba dans les pommes avant même d'avoir pu finir ma phrase.

En me réveillant, je vis que j'étais dans une chambre blanche. Je regarda autour de moi et je vis Louis dormir assis dans le fauteuil qui était à côté de moi. Je voulu m'assoir mais je cria de douleur, ce qui réveilla Louis.

Louis: me rallongeant doucement : Attention.

A cause de la douleur, les larmes commencer a monter, je les ravala aussitôt.

Louis: Qu'est-ce qui s'est passer ? Quand tu m'a appelé un moment tu as dis Zayn ?

Dylane: C'est a cause de lui que je suis ici.

Louis: Raconte moi.

Dylane: J'étais sur le chemin pour rentrer chez moi, quand on m'a frapper à la tête, j'ai donc perdu connaissance. Je me suis réveillée dans une voiture, du côté passager, c'est Zayn qui conduisait. Il a déboutonner mon jean et..

Louis: baissant les yeux : Ne continu pas, sa va me rendre malade sinon.

Dylane: Très bien. Pour lui échapper, je suis détacher, j'ai ouvert la portière et je me suis jetée de la voiture. J'ai fais un vol plané de quelques mètres, avant de m'écraser contre un arbre. J'ai eu beaucoup de mal a marcher après, mais je me suis aider d'un bâton. J'ai fais quelques kilomètre je pense avant de revenir sur Rochester.

Louis: me regardant : Tu n'aurais pas pu me joindre avant ?

Dylane: Non, avec la chute, mon téléphone n'était manipulable.

Louis se leva et me prit dans ses bras. J'étais heureuse d'être avec lui. Une infirmière entra dans la chambre avec un gros bouquet de roses noires dans ses mains. Je trouva cela bizarre de la part d'une personne de m'envoyer ce genre de roses. Elle m'indiqua qu'il y avait un mot dans le bouquet. Quand elle sortit de la chambre, Louis chercha le mot. Une fois trouver, il me donna le mot.

Dylane: lisant : Alors on est toujours vivante ? -Z

Louis: Encore cette personne !

Dylane: C'est que le début mais j'en ai déjà marre d'être harceler comme ça.

Louis: Je trouverais cette personne et je lui ferais regretter sa venue au monde.

Louis passa encore du temps avec moi, quand une infirmière vint lui dire que les heures de visites étaient finies.

A l'instant où il sortit de la chambre, je regarda par la fenêtre et je vis quelqu'un écrire un mot dessus avec un liquide rouge. Affolée j'appela Louis.

Louis: rigolant : Tu m'a quitté il n'y a même pas une minute et tu me demande déjà ?

Dylane: pleurant : Viens vite dans la chambre, je t'en supplie !

Louis: J'arrive tout de suite.

Le temps que Louis arriva dans la chambre, je me cacha sous mes couettes, pour ne pas voir l'atrocité du message écrit. Louis débarqua dans la chambre essoufflé de sa course contre la montre.

Il s'approcha de moi, enleva mes couette et me serra fort dans ses bras.

Dylane: Ne part plus.

Louis: Jamais.

Je le regarda et lui fit signe de regarder à la fenêtre.

Louis: lisant : Tes jours sont compter, pétasse. -Z

Not Same Not LoveOnde as histórias ganham vida. Descobre agora