J'aurais pu l'ouvrir avec ta tête, mais j'ai encore de la courtoisie en moi.

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Chapitre I

"Cher journal,

Me réveiller avec la peur de le croiser dans les couloirs, me donne l'envie d'errer dans ma chambre jusqu'à la fin de ma vie. Souvent en me levant, je me demande si un jour, tout va s'arrêter..

Personne n'est pas courant de ce qu'il me fait vivre. Oui, il me fait du mal, dans le dos des autres. Il fait le gentil quand il y a du monde autour de nous. Nous sommes le lundi 4 novembre, une nouvelle semaine de galère commence."

Je sortie de mon lit, tout en m'étirant. Je me plaça devant ma fenêtre, ouvrit les rideaux et ouvrit les volets pour admirer la beauté de mon jardin. Ma famille vit dans cette maison depuis très longtemps et on peut dire, que les générations d'avant on très bien entretenue le jardin. Celui-ci était très grand, dans le fond, il y avait une cabane en bois clair où mon père y mettait ses outils de travail ou autres babioles qu'il puisse utiliser. Sur le côté gauche, il y avait une très grande balancelle, sur laquelle les jours d'été j'aimais m'y poser toute une après midi en compagnies de mes amies, pour boire un bon thé. Juste devant la balancelle, sur le côté droit, il y avait un énorme sol pleureur, je me poser en-dessous pour y lire un livre quand j'en avais l'occasion. Ce bon temps me manquer beaucoup. Une fois que j'eu fini de profiter du bon air de novembre je me dirigea vers mon dressing pour y choisir ma tenue. Je pris un jean noir, avec un chemisier blanc avec un peu de rouge au niveau du col. Ensuite je pris des chaussures en cuir noir, qui suivait avec le reste de ma tenue et ma veste en satin clair. Quand je fus doucher et habiller, je descendis à la cuisine pour le petit-déjeuner. Ma mère était aux fourneau en train de préparer mes toast et mon père était à table, feuilletant le journal du matin.

Dylane: Bon matin !

Père: Bonjour ma chère fille !

Mère: Bonjour ! Je vois que tu es déjà toute prête !

Dylane: Oui, comme tu le vois.

Je m'installa à table en face de mon père qui avait toujours le nez dans son journal. Quand ma mère déposa mes toast dans mon assiette en porcelaine blanche, celui-ci me regarda.

Père: J'aimerais que l'on reparle de ta décision de changer de lycée.

Dylane: Oui ?

Père: Ta mère et moi pensions que c'est un peu trop rapide. Ton arguments est peu convaincant pour intégrer un nouveau lycée, tu le sais mieux que moi.

Dylane: Je sens que je n'ai pas ma place, dans ce bâtiments. Il fait trop.. Je n'ai pas vraiment de mots afin de le décrire.

Mère: Il a un très bon niveau.

Dylane: Oui mais ce sont les élèves qui me déranges en particulier, je vois directement que je suis trop aisé par rapport à eux. Je ne pense pas avoir la même éducation qu' eux.

Père: Jamais je ne cesserais de te le répéter ma fille, tu travaille pour toi, non pour les autres.

Mère: Tu as déjà Eléonore, elle vient du même milieu que nous .

Dylane: Je sais mais..

Père: me coupant : Fin de la discussion Dylane, tu ne quittera pas ce lycée tant que tu n'aura pas trouver un argument assez convaincant !

Je mangea mon toast, tout en fulminant en silence. Je détester le lycée dans lequel je me trouvais. L'argument, je l'ai mais il me fait trop peur pour que j'en parle à quelqu'un. Au moment où j'eu fini mon petit déjeuner, j'entendis frapper à la porte. J'en déduisais que c'était Eléonore. Je me dépêcha de monter jusqu'à la salle de bain , pour me brosser les dents.

Une fois prête, je descendis jusqu'à l'entrée, où Eléonore m'attendait.

Eléonore: se levant : Comment ça va ?

Dylane: mentant : Très bien. Et toi ?

Eléonore: Pareil.

Sur le chemin, aucune de nous deux ne parler. Cela devenait tellement gênant, que j'engagea la conversation.

Dylane: Qu'est-ce que tu as fais ce week-end ?

Eléonore: La routine, comme d'habitude. Mes parents ont travailler ce samedi, donc je suis allée jusqu'au centre équestre voir ma jument. Dimanche, nous sommes aller chez ma grand-mère boire du thé. Et toi ?

Dylane: Samedi je suis allée chez Jimmy Choo, pour des escarpins, mon père a un rendez-vous très important pour sa carrière donc, il faut que nous soyons présentable un maximum. Dimanche, je suis restée chez moi.

Eléonore: Il faudrait qu'on organise quelque chose avec les filles, cela fait longtemps que nous nous sommes pas retrouvées.

Dylane: J'y ai songée, j'en parlerai à ma mère.

Eléonore me souria, quand son téléphone sonna. Elle regarda, lu le message attentivement et à ce moment son visage se crispa.

Dylane: C'est encore cette personne qui t'harcèle ?

Eléonore: Non.. C'est Liam.. Il veut me parler à l'heure du midi. Je pense qu'il va vouloir rompre.

Dylane: Pour quelle raison ?

Eléonore: Beaucoup de raisons, surtout une. Je ne suis pas souvent avec lui en ce moment.

Eléonore sortait avec Liam Payne, ami de Zayn Malik. Ils sont cinq dans le groupe. Liam, très gentil, mais d'après Eléonore, il peut devenir très violent. Ensuite il y a Harry Styles, celui dont les filles sont toutes amoureuse. Niall Horan, un ami d'enfance, il était très timide, mais depuis qu'il est avec Zayn, il a prit beaucoup d'assurance. Louis Tomlinson, je l'ai toujours trouver magnifique et je suis restée très longtemps amoureuse de lui, mais il est très bizarre. Puis Zayn Malik, le "leader" du groupe je dirais.

En ce qui concerne la personne qui l'harcèle, depuis maintenant 4 mois, Eléonore reçoit des messages d'une personne dont on ne connait pas l'identité.

Quand on arriva devant le lycée, mon rythme cardiaque s'accéléra, au moment j'hésita a entrée.

Eléonore: Ne t'inquiète pas, il n'est pas encore là.

Elle savait que Zayn me faisait peur, mais pas qu'il me faisait vivre un enfer. Eléonore me prit par le bras. On avança toutes les deux jusqu'à la coure principale. Quand on arriva, les élèves se dirigeaient déjà vers le bâtiment pour aller en cours. Nous suivîmes le mouvement, premier cours de la journée: anglais.

Quand je fus en classe, toujours en compagnie d'Eléonore, je fus surprise qu'il ne m'était rien arrivée. Mais la journée ne faisait que commencer.

Eclipse de l'heure.

J'étais devant mon casier, je n'arrivais pas l'ouvrir quand j'entendis quelqu'un qui me demanda de me pousser. Je vis Zayn, m'ouvrir mon casier, rien qu'en y mettant un coup de poing.

Dylane: Merci..

Zayn: J'aurais pu l'ouvrir avec ta tête, mais j'ai encore de la courtoisie en moi.

Il s'approcha de moi, en mettant sa main autour de mon cou. Il serra très fort, jusqu'à ce que je suis puisse plus respirer.

Zayn: Tu sais ce rendez-vous dont ton père a besoin pour sa carrière. C'est mon père qu'il l'a organiser. J'espère que tu sera là.

Il continua de serrer. En quelques secondes, je le vis être projeter en arrière. Je glissa le long des casiers. Je vis Louis ce baisser a mon niveau.

Louis: Tu vas bien ?

Je lui fis signe que oui.

Louis: Non mais t'es complètement dingue de faire sa dans les couloirs ! Tu es au courant qu'il y a pleins de témoins ?

Zayn se releva, énervé. Je devinais qu'il se sentait humilier devant tout le monde. D'habitude, c'est lui prend les commande, cette fois-ci Louis les avaient.

Zayn: Mêle toi de ce qui te regarde. : me regardant : On se voit samedi !

Not Same Not LoveWo Geschichten leben. Entdecke jetzt