La Fiancée Des Olivariò

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~ Sabie ~

Deja trois semaines que je me sens fatiguée, j'ai la naussée en longueur de journée surtout le matin. C'était un cauchemard, le plus humilliant c'est lorsqu'on est en plein ébat amoureux, c'etait l'instant qui gachait tout, le malaise, à ces moments là j'ai juste envie de me cachée.

Ces derniers temps, jétais tellement stréssée que j'avais pris au moins deux ou trois kilos, les prochains defillés approchaient à grande vitesse il fallait que je me remettent au sport au risque d'être mise sur le bon de touche.

Adriano venait de se reveillé, encore une longue journée qui s'annonçait, on a jamais vraiment eu de temps pour nous la journée mais c'est dernieres semaines encore moins puisqu'il travaillait en duo avec Danté.

Je ne comprenais pas la situation,Danté homme d'affaire c'etait la blague de l'année, il etait fait pour être mannequin c'était le meilleur de notre géneration les marques les plus en vogue se le disputaint il avait exactement le physique qu'il fallait, il venait de "gacher" sa carrière pour devenir homme d'affaire c'était du grand n'importe quoi. Homme d'affaire ce n'était pas la petite bierre c'etait une grande responsabilite en plus de ça il etait le boss adjoint.

Chaque soir lorsque Adriano rentrait du travail, il etait plus épuissé que jamais. Danté le menait la vie dure mon pauvre petit mari, "heureusement que tu es là, j'ai la femme la plus belle pour me reconforter " disait t'il.

Je souriais comme une imbecile chaque fois qu'il prononçait cette phrase. J'étais marié à l'homme le plus merveilleux au monde.
Je fus vite sortie de ma reverie.

- Bien dormie cendrillon

- Tu veux dire la belle au bois dormant.

-C'est la même chose , tu as le don de me contrarié

- Non je ne suis pas d'acco...

- Embrasse moi

J'ai posée mes lèvres sur les siennes afin de lui faire un petit bisous "innoncent" histoire de le provoqué un peu, sans grand surprise il m'avais retenu par le bras, il me fit assoir sur ses jambes althetique. On se regardaient j'ai fait mine de me mordre la lèvre inferieur ses pupiles se sont dilatées, on s'embrassaient longoureusement puis fougueussement je n'arrive plus a respirer il fallait que je reprenne mon soufle, il s'est arretté et il me regarsait satisfait .

-C'etait ta petite punition, la prochaine fois tu n'auras pas l'audace de me provoquer. dit il en me claquant les fesses.

Il ya quelques mois j'étais encore vierge, si Adriano avait fait ce geste je l'aurais battue.

- Tu sais j'ai envie de quoi là maintenant ...

- Non dis moi, je ne sais pas. repliquais je d'un ton faussement innoncent.

-Tu es sûre...? m'interogeait t'il en levant un de ses sourcils parfait.

Il était tellement sexy, je n'avais qu'une acte, qu'il commence ce qu'il entreprenais de me faire.

- J'ai une grande envie de te faire pleins de cochoneries, en commencant par embrasser ton magnifique coup.. ensuite...

Le coup était l'une des parties les plus érogènes de mon corp, je ne pouvais resistée il empoigna ma poitrine, il me caressait m'embrassait jusqu'à ce qu'il arrive à mon nombril il s'arreta, il avait sûrement remarquer que mon ventre n'était plus aussi plat, j'avais pris du poids.

Je me sentais pas très à l'aise, pour une fois les naussée me servait comme excuse, je me suis relevé du lit et j'ai prétendue que je devais aller au toilette.

Adriano s'écarta il semblait inquiet tout en reflechissant.

- Je vais finir par croire que mon charme ne fait plus son effet, voir même que je te degoute.

- Ne dis pas n'importe quoi, cheri tu es toujours aussi sexy, je suis juste stréssée ne t'inquiète pas. Hurlais je dans la salle de bain.

- Je ne penses pas que ce soit le stress il faut que tu vois un medecin.

- Tu penses que c'est quoi si ce n'est pas le stresse allez ne t'inquiète pas pour moi, je vais bien dit je nouant sa cravate.

- Peut être que tu es enceinte, tu vomis, tu es fatiguée, tu t'irrites très vite, tu as pris...un... peu de poids... Tu as les même symptone que ma secretaire Rachel lorsqu'elle était enceinte.

Il avait remarqué, mais je ne pouvais pas etre enceinte, c'était absurde c'etait juste que je mangeais plus qu'il fallait, le stresse c'était forcement le stress.

- Allez arrette tu n'es pas medecin tu es un homme d'affaire de plus tu deviens parano à force de discuter avec Dalva. M'esclafais je

- Je suis très serieux, c'est probable, je te rapelle qu'on ne se protège pas. De plus imagine que ce n'est pas le stress ni le fait de tu sois probablment enceinte, tu es peut etre malade. Je veux que tu prennes un rendez vous.

- Je le ferais allez on va etre en retard.

- D'accord informe moi, je vais prendre une pose pour t'acompagner.

- Tu as deja braucoup de travail, je vais y'aller ne t'inquiète pas cherie.

- Je n'en doute pas mais je t'acompagne previens moi.Je t'aime.

- Je t'aime aussi

Il m'embrassa et s'en allat mais il n'avait pas tord, j'ai eu du retard dans mes regles.
Je jettais l'oeil à la pendule, il était deja 7:15 il fallait que je me depêche.