Prologue

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 « Je ne suis rien et je le sais mais je compose mon rien avec des petit morceau de tout . »

Cette citation de Victor Hugo trône sur le mur d'un atelier en désordre ou plein de couleur crée leur danse. C'est l'atelier d'un peintre. Mais ou est se dernier ? Il est belle et bien la dans se paradis de couleur où toute cette confusion devient harmonie. Mais lui vois t-il toute ces couleur, vois t-il la merveilleuse symphonie qui se joue en cette endroit ? Non, il est la a son bureau la tête entre les mains. Le contraste même de son propre atelier, lui est noir terne. Il refuse de s'ouvrir, il se terre, s'enferme. Tout les rideaux sont tiré cachant la lumière que pouvais offrir les grandes bais vitre où jadis il adorais se perdre dans le paysage fabuleux qu'elle offrait. Il regardait les passants, il aimais se concentre sur les traite de leur visage, leur imaginer des vie, un passé, un présent, un avenir. Mais maintenant il est la assis a son bureau et devant lui une multitude de feuille blanche. Toute blanche mais lui dans sa tête toute est noir. Cette univers qu'il avait lui même crée il la abandonné pour se plonger dans les ténèbres et la noirceur qui accrois dans son cœur. Cette noirceur qui le détruire et dont la raison reste inconnu. Cette valeur qu'est le noir le ronge, le dévore lentement. En témoigne sa chemise déboutonné, son teint pâle comme la blancheur d'un cadavre, ses yeux vide, immobile il semble sceller dans une certaine folie.

« Angelo ! Angelo ! Ouvre moi ! »

L' homme de bouge pas de son bureau seul ses lèvres bouge. Dont le seul but est de crie après son interlocuteur.

« Va-t'en ...va-t'en ! »

La folie prend le dessus sur la raison, il crie, il hurle comme si on lui arrachais les membres.

Il est fou, fou de cette douleur psychique, cette douleur non physique que certain qualifierais d'imaginaire. Il pleur, hurle pourtant rien ne le soulage... La porte s'ouvre et l'ami du peintre cour et le prend dans ses bras. Il est a terre a présent, a frappé le sol de toute ses forces.

« Angelo...arrête »

Il lui prend les mains et le plaque au sol afin qu'il arrête de se calme.

« Angelo... »

Ce dernier pleure mais ne crie plus, il se laisse allé contre son ami et le serre comme si il allait le perdre. Au fond de lui même il se dit que personne ne sais, personne ne comprend sa douleur. Celle qui lui entrave et martyrise le cœur.       

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⏰ Last updated: Aug 09, 2017 ⏰

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Le peintre noirWhere stories live. Discover now