Amour détruit

Chapitre 47 :

PDV JAYDEN

- Mes parents sont mort.

Et suite à ses mots elle ferme les yeux et sombre dans un sommeil profond pendant que moi je sens que mon insomnie suite à ses mots va persister.

Je pensais pas qu'un malheur pareil lui était tomber dessus.

Et je me rend compte de l'importance de mes gestes à ce moment là. Il faut que je reste près d'elle pour qu'elle puisse faire son deuil et je réussirais à tout lui faire oublier.

C'est niais de dire ça, même super niais. Mais sincèrement fatigué comme je suis et après cette nouvelle qui me blesse moi aussi profondément c'est normal d'être aussi con.

Je l'enroule de mes bras et me colle à elle, comme-ci c'était mon ours en peluche alors que l'inverse serai plutôt recommander. Je sens ses cheveux, qui ont une odeur de shampooing. Et les caresse du bout des doigts en chantonnant en comptine la prenant comme mon enfant que je veux endormir.

Et je sens ses muscles se détendre petit à petit pour ensuite totalement restée inerte entre mes bras. Psychopathe que je suis je l'observe dans son sommeil.

Ses paupières recouvrant ses yeux rougis.

Sa lèvres qui est plus rouge et plus pulpeuse dû au nombre de fois qu'elle les as mordu sous le coup de l'émotion.

Son nez rouge sûrement suite au nombre de fois qu'elle s'est mouchée.

Et ses joues de la même couleur.

Mais malgré toute ses rougeurs elle reste magnifique. Et je pense que sa beauté est encore plus réelle.

Puis finalement au alentour de 3h du matin je réussis à m'endormir.

Je me réveille suite à de douce chatouille dans mes cheveux, j'ouvre un œil et voit... rien !?

J'ouvre le deuxième œil et toujours le néant.

Putain je suis dans un trou noir ou quoi ?

Je tâtonne avec mes mains l'espace qu'il y a autour de moi, et je me rend compte tout simplement qu'il y a quelqu'un sur mes yeux qui m'empêche de voir quoique ce soit.

Et bien sûr il je n'ai pas besoin de préciser que c'est Andréa et que mes yeux son actuellement ensevelis sous sa poitrine.

Merci Andréa pour ce réveil.

Comment je l'ai su.... j'ai eu la malchance de tâter ce qui se trouvait au dessus et vu le moelleux de la chose suivit d'une baffe, je pense que je me suis guère trompé.

Suite à ça, je ne décide pas de glander comme à mon habitude mais plutôt de faire un footing, histoire de détendre mes muscles et m'épuiser un bon coup.

A jeun bien sûr, même si ce n'est pas recommander j'ai l'impression que comme cela je me donne vraiment à fond.

Alors que je quitte notre petite maison, je traverse la rue et commence à courir direction Royal Botanic Garden, le seul parc où on peux tranquille courir entre les fleurs, slalomant les arbres sans qu'un idiot vous gueule que vous marchez sur la pelouse.

Mes foulées sont régulières et mon short Nike frotte contre ma cuisse, pareil pour mon ample T-shirt de la même marque. Malgré qu'il soit très tôt : 5h40
La chaleur australienne fait déjà son apparition puisque je me surprend à transpirer légèrement du dos.

Alors que tout allais bien dans le meilleur des mondes, je suis vite interrompu :

- Monsieur ?!