Salam aleykoum
Tata : on se demande bien on t'a trouvé ce manteau de marque.
Mami : oh myriam ferme la.
Elle : c'est la vérité ma elle ouvre ses cuisses pour de l'argent.
Je la regardai choquée ils me regardaient tous.
Moi : ok j'ai fait une grosse erreur tata mais de la dire que j'ouvre mes cuisses pour de l'argent c'est dégueulasse de dire ça tu m'aime pas autant ne pas me calculer et arrête de me lancer des piques à chaque fois que tu va me voir, j'ai un taff pour satisfaire aux besoins de moi et de mon fils.
Tata : si j'ai envie de te parler je le fais si j'ai envi de te lancer des piques je le fais ok ?! Et dit moi il est où le père de ton fils Hmm ?
Papi : ferme la myriam.
Elle me dévisage, je met mon manteau et prend mon sac.
Elle : mais elle peut nous répondre il est où ? Il était ou quand t'étais enceinte ?
Moi : il était à l'armée.
Elle : ah ouais ?
Moi : oui.
Mami : maintenant ça suffit myriam je ne sais pas ce que t'a contre ta nièce mais tu va arrêter ça !
Elle part dans le salon en bousculant Salah qui se tenait au mur ce qui qu'il tombe et se cogne la tête puis commence à pleurer.
Je le prend directement et sors dehors devant ma voiture.
Moi : chut mon bébé * lui masse la tête *
Ça m'énervait vraiment ok tu m'aime pas mais touche surtout pas à mon fils.
Il se calmait petit à petit, je le met dans la voiture et rentre vite récupéré mes affaires et l'adresse de la copine de ma grand mère.
Mami : fait pas attention à elle.
Moi : t'inquiète pas pour ça Mami.
Je monte en voiture et démarre direction le 95.
Une fois arrivée je me gare et on descend, c'était vraiment calme pour une cité, je me dirige vers le hall et sonne à l'interphone de la dame
Elle : oui ?
Moi : oui bonjour c'est la petite fille de soukayna.
Elle : ah D'accord *m'ouvre * c'est au 3 étages la porte est ouverte.
On entre, enfaite c'était blindé de ga, je porte Salah et me dirige vers l'ascenseur puis appuie sur le bouton.
Yavais un grand silence, vous voyez le genre de silence quand une meuf passe dans un lieu où il y a que des ga bah c'est le même.
Un d'eux : il fonctionne pas l'ascenseur...
Moi : merci.
Je monte les escaliers une fois arrivée je sonne, c'est une renoie qui m'ouvre.
Moi : Salam aleykoum.
