Prologue

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De nos jours.

Champs-Élysées, Paris

Conférence de presse du président de la république française.

18 avril 2017, 11h05

François Hollande : Mes chers patriotes français, je dois vous faire part d'une terrible nouvelle. Comme vous le savez tous, une explosion a eu lieu dans la ville de Khan Cheikhoun en Syrie, ce 4 avril 2017. Mais la nouvelle que je dois vous annoncez est encore plus mauvaise que cette attaque. D'après se que j'ai pu comprendre, les États-Unis d'Amérique, ainsi que la Corée du Nord, sont en froid depuis maintenant quelques jours, entre ces deux pays, la guerre risquerait d'entrée. Les Coréens du Nord menace de lâcher des bombes nucléaires sur les États-Unis, cette guerre pourrait éclaté à tout moment, rentrant dans le classement de la guerre la plus destructrice et la plus mortelle de toute. Notre cher président de la république Américaine, Donald Trump, est inconsciement entrain de jouer avec le feu et pourra le regretter, si il continu ce genre d'agissement en vers l'État de la Corée du Nord. Je ne peux pas vous en dire plus sur les agissements de monsieur Trump.

Journaliste : Monsieur le président, monsieur le président, répondez à nos questions s'il vous plais.

Garde de corps : Dégagez le passage, allez !

Pendant ce temps.

Rue du Perroy, Béthune, Haut-de-France

Max : Pfff, ce Donald Trump, mais quand va t-il arrêter de faire ce genre de merde ?

Georgina : Tu m'en demande trop là.

Quelqu'un sonna à la porte.

Aaron Black : Monsieur Phillips ?

Max : C'est bien moi, c'est pourquoi ?

Aaron Black : Police judiciaire, pouvez-vous me suivre s'il vous plais ?

Max : J'ai fais quelque chose de mal monsieur l'agent de police ?

Aaron Black : Non, je dois juste vous amenez au poste, le lieutenant Hopkins veut vous parlez.

Max : Super, encore, que veut-il encore ?

Aaron Black : Je n'en sais pas plus de se que vous croyez, désolé.

Max : Je vois, emmenez moi jusqu'à lui.

Aaron Black : Suivez moi.

Max : Chérie, je sors !

Georgina : D'accord, mais rentre pour le dîné de ce soir, pas comme la dernière fois, tu veux bien.

Max : Je vais essayé, je ne te promet rien.

Nous sortions, et nous nous dirigions vers la voiture. Je monta à l'intérieur.

Max : Depuis quand la police peut ce permettre de ce payer une Mercedes-Benz ?

Aaron Black : Je l'ai acheté par mon propre argent.

Il démarra la voiture, et il roula. Son téléphone sonna, il décrocha si peu de temps après.

Aaron Black : Oui.

... : Aaron, c'est moi.

Aaron Black : Qui moi ?

... : Tu dois m'aidé, je me suis mis en danger, les templiers me poursuivent, je sais que j'aurais du t'écouter à propos de Quentin, tu avais raison, c'était le chef des templiers.

Templier : Là, il appel des renforts !!!

... : Fais chier, ils m'ont retrouvés, il faut que j'y ailles.

Aaron Black : Cobra attends !

L'homme au bout du fil avait raccroché, laissant un blanc total.

Aaron Black : Fais chier ! Je dois allé l'aider.

Max : Mais vous ne savez pas où il se trouve.

Aaron Black : Si, la géolocalisation.

Max : Autant pour moi.

Aaron Black : Ah, te voilà !


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