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Je suis rentrée de l'entreprise, à pied, par peur de déranger ma mère dans son boulot.

Il est 19h ma mère est sensé être déjà rentrée mais aucun signe de vie dans cette maison à part moi.
Je décide de me préparer des pâtes, le plat que je fais toujours quand je suis seule.
Mon plat remplit, je me pose sur le canapé, devant la télé, en me mettant à l'aise. Ma mère à l'habitude de me voir traîner en culotte, donc une fois de plus ne la dérange pas. Enfin, j'espère.

La tête lourde, mes yeux se ferment seuls, mais en entendant la porte d'entrée s'ouvrir je m'efforce de les ouvrir.
Je tourne ma tête, mon coeur a failli me lâcher quand je vois cette vision d'horreur juste devant moi. Ma mère et Zayn s'embrassent, se touchent juste devant moi et je pense qu'ils ne m'ont même pas vu.
Je me fais discrète et ma mère monte à l'étage. J'ai bien compris ce qu'ils vont faire et ça me répugne. Il me dégoûte.
Deux mains se posent sur mes yeux, et un divin parfum glisse dans mes narines.

"-Baby...

-Dégage." Je me permet d'être froide avec lui.

Il retire ses mains et fait le tour du canapé pour arriver devant moi. Il replace sa chemise tout en me fixant, et moi je fais mine de ne pas le voir, même si je vois que lui et qu'il m'empêche de voir la télé.

"-Qu'est ce qu'il y a ?" Il m'interroge.

Je soupire en entendant ma mère appeler Zayn.

"-Tu veux te taper ma mère, dans ma maison, et moi qui vous entend ?"

Il se frotte la nuque et s'assoit sur le canapé, puis se penche vers mon oreille.
Son souffle percute mon oreille, ce qui me procure des milliers de frissons.

"-Écoutes. Si j'ai envie de baiser le petit cul de ta mère je le ferais. Comme si j'ai envie de baiser le tien je le ferais aussi, t'as pas ton mot à dire baby...

-Oh que si j'ai mon mot à dire. Et n'oublies pas que j'ai pleins de choses à raconter sur toi !"

Je me lève énerver en prenant mon téléphone.

"-J'adore ta petite culotte en passant !"

Je sors dehors en claquant la porte.
Je m'assois sur les marches d'escaliers devant ma porte d'entrée. J'entend qu'ils sont bien en train de s'éclater, c'est écœurant.

Après une vingtaine de minutes, la porte s'ouvre, je sursaute, j'ai crue que la porte allait casser.
Il baille fortement, je sais qu'il veut m'embêter. Il s'assoit encore à mes côtés en me fixant. Je le regarde à mon tour en posant ma tête sur mes genoux.

"-Quoi ?" Lui dis-je.

Il ne me répond pas et pose sa main sur mes cheveux et m'approche de lui pour m'embrasser.

"-Tu sais que y'a que toi que je veux baby.

-Je peux jamais être énervée contre toi, t'es chiant !"

Il rit à ma remarque, et me m'embrasse encore une fois mais plus langoureusement.

"-Viens chez moi.

-Il est tard...

-S'il te plaît...
Ça fait longtemps que je t'ai pas eu que pour moi..."

Je mord ma lèvre inférieure, pourquoi pas, ça ne me fera pas de mal.

"-Mh... D'accord. Mais, ma mère ?

-Elle dort, t'inquiète pas, je trouverais un moyen tu sais bien."

Je me lève en oubliant que je suis toujours en culotte. Ni une, ni deux, il me claque les fesses violemment ce qui me fait lâcher un cri aigüe.

"-Aller, changes toi, je veux pas que quelqu'un d'autre voit se fessier qui m'appartient."

Je monte en vitesse dans ma chambre pour mettre un vieux jogging qui traîne dans mon armoire puis je redescend en prenant mes baskets dans une main.
Il ouvre la voiture et on monte à l'intérieur en direction de chez lui.

Dans la voiture personne ne parle mais plutôt les gestes parlent.
Il pose une de ses mains sur ma cuisse et sert un peu. Il la remonte mais je le stop en remettant sa main plus bas.
Finalement, il prend ma main, et la dépose sur sa cuisse.
Je remonte également ma main plus haut, mais ça ne le dérange pas, donc je continue à le chauffer.

Je pose ma main sur son entre-jambe en bougeant doucement mes doigts. Je le voit se décontracter et serrer ses mains sur le volant.
Je déboucle sa ceinture et je la retire puis je la pose sur mes genoux. Je déboutonne son pantalon tout en le fixant dans les yeux même si il fait mine d'être concentrer sur la route.
J'entre ma main dans son pantalon, puis dans son boxer.
Je prend son membre en main et je fais des petits vas et viens.

"-Putain..."

Je relève les yeux, sa bouche est entre ouverte et il respire fort.
À un feu rouge il en profite pour baisser beaucoup plus son pantalon suivi de son boxer pour me laisser le champ libre.
Ce trajet me semble interminable ce soir-ci.

Je me baisse vers sa partie intime et je la prend en bouche. Je le suce lentement, et avec une main je fais des vas et viens.

"-Sydney... Plus vite..."

J'accélère sous sa demande, je l'entend gémir mon prénom, et je dois avouer que ce n'est pas déplaisant.

Juste avant qu'il se vide, je me retire. Il me regarde puis ferme les yeux.

"-Merci baby."

Yes, Daddy.   zm Where stories live. Discover now