Celle Que Je Veux Être

♠Chapitre 37♠

LIRE A LA FIN IMPORTANT

Point de vue de Drago Malefoy

Je précise que l'histoire jusqu'à nouvelle indication se passe durant le sommeil d'Amalia.

Je me réveille, je me suis endormi après avoir vu Amalia venir et partir. Je sors de l'infirmerie, et croise Amalia qui dort contre la porte. C'est pas possible. J'ai pas le temps de la ramener, j'ai perdu assez de temps. Je la remets confortablement de sorte à ce qu'elle n'attrape pas un torticoli ou quelque chose du genre. J'en profite également pour la regarder, sûrement la dernière fois. Après ce que je m'apprête à faire elle ne voudra sûrement plus me parler.
Amalia endormie à l'air complétement inconsciente de n'importe quel danger. Je lui remets ses cheveux et l'embrasse sur le front avant de tourner les talons.

J'arrive au dortoir, beaucoup me pose des questions, sur ce qu'il s'est passé. Comment on en était arrivée à là, et encore pleins d'autres questions sans intérêt. Je commence à être vraiment ennuyé, et décide d'aller dans ma chambre.

***

Je regarde mon réveil, et attends la "bonne heure". Maintenant. Je me lève doucement en prenant soin de ne faire aucun bruit. Je suis resté habillé dans mon lit, je remets mon costume droit, refait la cravate, et pars pour la salle sur demande.

Je prends soin de faire le moins de bruits possible, et continue de marcher dans les couloirs de Poudlard éclairé par la lune. J'arrive à la salle sur demande, je puisse unendenses lourdes portes et rentre dedans. Je cherche l'armoire à disparaître dans la pièce. Une fois trouvé, je prononce la formule.

Je m'écarte quelques secondes après, et voilà ma tante avec ses acolytes. Je préfère prendre certaines distances. Je ne les connais pas vraiment. Juste les enfants Carrow, et Greyback.

Nous nous dirigeons vers la tour d'astronomie. Alors que je dis à deux doigts d'arriver à la tour, je remarque que Greyback n'est plus avec nous. Personne n'y a fait attention sauf moi.

Revenu à la "réalité". L'histoire reprends son cours normal.

Bellatrixe pousse afin que j'aille au dernière étage seul. Comme dirait elle. "Va accomplir ta tâche". Je commence à prendre l'escalier, quand j'entends des voix. Je me précipite encore plus. Devant moi Dumbledore seul.

- Bonsoir Drago, dit Dumbledore, qu'est ce qui t'amène par cette belle soirée de printemps ?

- Qui d'autre est là ? Dis-je agressivement. Je vous ai entendu parler.

- Oh, soupire-t-il, je me parle souvent à moi-même, je trouve extraordinairement utile. Et toi Drago tu t'ai murmuré des choses ?

Je le dévisage. Qu'est-ce qu'il veut ? C'est pas ses affaires, voilà une des raisons de pourquoi je déteste Poudlard. cet imbécile, se mêle de tout. Impossible d'avoir un minimum de vie privée.

- Drago. Tu n'est pas un assassin.

- Comment savez-vous qui je suis ? Répondis-je vivement. J'ai fais des choses qui vous ferez frémir.

- Oh ! S'exclame-t-il, comme jeter un sort à Katie Bell, en espérant qu'elle me remettrait un collier ensorcelé ? Ou remplacer une bouteille d'Idromel (?)) par du poison ? Excuse-moi, mais je ne peux m'empêcher de penser devant ds tentatives aussi vaines, que tu n'y a pas vraiment mis tout ton coeur.

- Il me fait confiance ! Il m'a choisit !

A la fin de mes paroles, je remonte d'un coup ma manche gauche, pour lui dévoiler la marque des ténèbres. Il ne réagit pas.

- Alors je vais te faciliter la tâche. dit-il en levant ses mains.

- Expelliarmus !

Sa baguette se détache de sa main et tombe au sol. Je ne dois pas perdre. Je dois le faire. Je dois.

- Excellent. répète-t-il calmement. Tu n'es pas seul, il y en a d'autres, comment ?

- L'armoire à disparaître dans la salle surdemande, je l'ai réparée. Dis-je sèchement.

- Laisse moi deviner, elle a une soeur. Une jumelle.

- Chez Barjow et Beurk. Ça forme un passage. Dis-je.

Je sens que je commence à paniquer. Il faut absolument que je paraisse calme.

- Astucieux.

Il marque une pause puis reprend.

- Drago. Autrefois j'ai connu un garçon qui a fait tout les mauvais choix possibles. S'il te plaît laisse-moi t'aider.

- Je ne veux pas que vous m'aidiez ! Vous ne comprenez rien ! Il faut que je le fasse !

Il me regarde d'un air désolé, tandis que j'essaye de retenir ce qui veut sortir.

- Il faut que je vous tue. Ou... Il me tuera... dis-je en tremblant.

A la fin de ma phrase, des pas se font entendre. C'est ma tante et ses acolytes.

- Oh, regardez ce que nous avons là, dit Bellatrix calmement.

Elle s'approche de moi, et me souffle derrière "Bien joué Drago"

- Bonsoir Bellatrix. Je crois que des présentations s'imposent non ?

- J'aimerai bien Albus, malheureusement... nous sommes tous un peu pressés.

Elle me regarde froidement.

- Fais le.

- Il a rien dans le ventre, il est comme son père. Dit un des acolytes.

Je ne réagis pas. Mais à l'intérieur, une rage immense m'envahit. Mon père n'est pas un lâche.

Personne ne réagis, quand Greyback arrive, un corps dans les bras. Nous nous retournons tous instinctivement. Je ne reconnait pas encore qui c'est, mais Bellatrix sourit à pleine dents.

- Fenrir. Tu as trouvé la fille. Intéressant. Quelle sotte, comme sa mère.

Cette dernière phrase, me fait réaliser que... Non. Ne me dîtes pas que... Amalia... Mon cerveau se vide, je ne réagis plus, c'est comme si le temps s'était arrêter d'un coup. Je ne voyais rien, rien à part le corps de Amalia dans les bras de Greyback. Elle est dans ses bras, complétement inconsciente. Elle ne bouge pas d'un poil. Non... Ne me dîtes pas que ce que je pense est vrai. Amalia serait... Morte ?

***

Je vous aime bien, mais je vais vous faire durer le suspens, car je suis la fille la plus sadique du monde niark ! Vous inquiétez pas la suite arrive bientôt moins d'une semaine même pas, car j'ai déjà écris le prochain ;) allez sur ce, je vous laisse en plan. Bye~

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LES PERSONNES ! DEJA 1 ANS QUE CETTE HISTOIRE A ÉTÉ COMMENCÉE ! VOUS VOUS EN RENDEZ COMPTE ! J'Y CROIS PAS EN PLUS ON A PLUS DE 2K VOTES ET ENVIRON 24,5K lectures ! MERCI MERCI BEAUCOUP DE FAIRE VIVRE MON HISTOIRE !

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En vrai je l'avais poste à 12h mais y a eu un bug '-'