L'horreur

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En ce petit chemin de feuillage étroit, la nuit, sombre qu'elle était, l'envie de m'accrocher à ton cou. Que nos âmes s'entremêlent, que nos êtres ne deviennent qu'un, que l'horreur qui émane de nous s'agrandisse à vue d'œil. Les êtres humains que nous sommes ne feraient qu'un grand être, un monstre géant, représentant à lui même toutes les bêtises de la race humaine. La cruauté, celle-ci qui s'étend à perte de vue.

...

Et je suis toujours la, le regard stagnant, à vouloir m'accrocher à ton être. Erīsufīrudo

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