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R O S A






Moi- Mon dieu, tu m'entends? 

Il hoche légèrement la tête et ferme les yeux, je regarde de plus près sa jambe, et je remarque de plus près qu'un couteau est situé près de celle ci, mon sang se glaça automatiquement.

Moi- On va partir à l'hôpital, je vais te relever et on va rentrer dans la voiture, d'accord?

Il hoche la tête, il avait l'aire déconnecté de tout autour de lui et son hochement de tête était comme un automatisme.

J'essaye de le relever mais il était beaucoup trop lourd pour que j'arrive à le faire.

Moi- Tu ne veux pas essayer de te lever, tu es beaucoup trop lourd pour moi.

Il avait vraiment l'aire shooté, il était dans les vapes et ne voulait ni se lever ni le répondre.

Par ma plus grande chance, une personne est passée par là, et en voyant ma détresse, s'est approché de nous.

Homme- Qu'est-ce qu'il se passe ici?

Moi- Aider moi à le porter jusqu'à ma voiture s'il vous plaît, il est blessé et je n'arrive pas à le faire.

Il me regarde de haut en bas et regarde à son tour Sahir affalé par terre.

Homme- Vous vous connaissez? Vous savez les hommes de nos jours cherchent des proies par tout les moyens.

Je le regarde en le dévisageant, pour qui se il se prend pour dire des choses comme ça? C'est plutôt lui qui a l'aire d'avoir une allure de pervers.

Moi- Oui je le connais très bien, c'est mon fiancé pour tout vous dire, lui dis-je pour qu'il arrive.

Homme- Je ne sens pas dans le regard que vous lui portez de l'amour, vous savez, j'ai beaucoup d'expérience avec les fem...

Moi- Et mon poing dans ton cul tu vas le sentir? Ferme la et dépêche toi de le porter sinon je prend le couteau par terre et te coupe les couilles, ça te va comme ça?

Homme- Calmez vous voyons, il n'y a aucunes raisons de vous mettre dans cette état, vous pouvez me le demander plus gentiment.

Je m'abaisse par terre et ramasse le couteau et m'approche petit à petit vers son corps de crevette, il me force à adopter des attitudes comme celle-ci.

Homme- C'est bon c'est bon, je vais le prendre.

Il porte en deux secondes le corps de Sahir sur ses épaules et il me suit de près pendant que je me dirige en vitesse vers ma voiture.

J'ouvre la portière et il dépose le corps de Sahir et par limite en courant car j'avais de nouveau pointé le couteau vers lui, on sait jamais si il comptait faire un coup de batard avant de prendre la fuite.

Je me dépêche d'ouvrir ma portière et de m'installer sur mon siège et je démarre en vitesse vers l'hôpital le plus près.

Rosa | La beauté du cœur.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant