Habituée à ce genre de regard de la part de Karim, elle salua ses parents avant de s'installer en l'ignorant.

-Maman, j'y vais ! Déclara Karim en finissant de manger.

-Que Dieu t'accompagne mon fils, répondit-elle comme chaque jour.

Il quitta la maison en grande enjambée, le visage n'exprimant rien de bon.

Voyant cela, Zarah le suivit en courant sans prendre la peine de finir de manger.

-Où crois-tu aller habillée de la sorte? Lui demanda t-il énervé.

-A l'Université, répondit-elle prudemment.

-Va te changer tout de suite, ne m'énerves pas, Zarah !

-Mais Karim.......

- Je vais te gifler, si tu ne disparais de ma vue ! La menaça t-il.

Elle sortit de la voiture en rouspétant.

-Dépêches-toi, lui cria t-il.
Elle couru se changer, connaissant bien son caractère.

Karim était le genre d'homme intimidant et charismatique à la fois.

Tout chez lui imposait le respect, sa haute carrure, ses yeux noirs que deux magnifiques fossettes venaient radoucir.

Son teint métissé faisait ressortir sa somptueuse barbe naissante entretenue avec soin. Il avait la beauté, l'argent et les femmes de tous genres à ses pieds mais les regardait même pas .

Karim kenan , Mr arrogant, yaro maiji da zamani, kudi ,kyau uwa uba ilimi.

Voyant qu'il n'avait pas l'intention de lui parler, Zarah mit ses écouteurs en lui jetant de temps en temps des coups œil.
.

Ce gars est trop nerveux, s'était-elle dite intérieurement pour la nième.

-Pourquoi me regardes-tu ? Demanda t-il la voyant le fixé.

-Qui ? Moi ? Jamais ! dit-elle prenant un air indigné.

- Tu ne sais vraiment pas mentir, dit-il en se concentre sur la route.

Tu n'es pas le centre du mon, frère ! pensa t-elle.

Le crissement des pneus contre le bitume lui avait fait émettre un cris aiguille quand il freina subitement, heureusement qu'il n'y avait pas de voiture sur la route dû à l'heure matinale.

-Tu veux nous tuer ou quoi ? Cria t-elle en reprenant sa respiration.

Karim ne semblait guerre se préoccuper d'elle, il la regardait avec ses yeux noirs remplis de colère et soufflait comme un taureau. Elle allait sortir de la voiture par peur, mais il condamna la voiture.

-Na shiga uku !Pardonne-moi, Karim ! Dit-elle apeurée.

-wallahi allah zarah, si jamais tu me reparles comme ça , je vais te faire une chose que tu ne souhaiterais même pas a ton pire ennemi, m'as-tu compris ?, finit-il les traits n'aspiraient rien d'autre qu'une éternelle froideur.

Mon Mariage Inattendu Dove le storie prendono vita. Scoprilo ora