Chapitre 1 :

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Sa fait deux jours que je suis caché dans cette supérette. La rue est vide, sa me semble rien de bon.
Je sort de ce magasin qui commence à puer le renfermer et la poussière.
Le ciel est couvert de gros nuages gris, les appartements donnent une sensation d'être compresser,  sa me perturbe.

Ah oui, c'est vrai je me suis pas présenter.
Je m'appelle Connor, je sais, c'est pas un prénom qu'entends rarement les filles durant un rencard où même sur une carte de fidélité.
Je fête mes 18 ans aujourd'hui, ouais,  je les fêtes en longent un route où aucune voiture ne circulent.
Vous vous dites sûrement que je suis un SDF avec mon sac à dos, la peau sal, les cheveux gras. Eh bien...oui et non. À vrai dire je squatte les maisons et les appartements abandonnés pour survivre pas que du froid et des intempéries mais de c'est rampants.

Il y à deux mois de ça, une épidémie virale d'une origine inconnue à attaquer le cerveaux de certaines personnes les transformants en rampant,  des monstres assoiffées de sang et de chair. Le genre de monstres qui te cours après dès que tu t'approches d'eux. Un seul tu peux le géré, mais le pire ses les hordes, ils peuvent être quatre comme il peuvent être cent. Une fois j'ai du me cacher dans une cage à escaliers de secours d'une tour.
Arras n'ai plus la ville qui accueil des milliers de touristes chaque années. La c'est plus c'est choses qui t'accueil le ventre vide.

Mais les rampants ne sont pas le seul danger qui t'attaque.
Il y à aussi les vigiles, des gens comme moi mais pas très bien dans leurs têtes. Ce sont des humains armés qui tirent sur tout ce qu'il bouge, rampants comme humaines.
C'est gars tuent pour le plaisir,  pient les magasins pour des provisions, comme moi.
Sauf que je ne tue pas les humains,  hormis les vigiles. Je cherches de la compagnie mais difficile d'en trouver dans cette grande ville.

Mes parents sont encore présent,  je suis sur la route pour les rejoindres. J'avais fait un tour dans un ancien hôtel de police où j'ai trouver quelque provisions et des vêtements de rechanges. Mais j'ai aussi trouver deux armes : Un fusils et une arme de poing.
Je monta mes escaliers en marchant, jouvris ma porte à clé et vis mes parents que transformer en rampant que j'avais enfermée et attaché avant leurs transformations.
Ils poussent des hurlements, de la bave noir sortaient de leurs bouches, leurs yeux gris comme le ciel.

Je sortit l'arme de poing de mon pantalon en tramblant puis le pointa vers leurs crânes.
Je pleuraient puis appuya sur la détente deux fois.

Leurs sang avaient voler sur mon visage et mes vêtements, je pleure les regardants.

Papa...maman je suis désolé.

Instinct de survie.Where stories live. Discover now