Chapitre 2: le jeu

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Les enfants autour de nous, nous observaient sans rien dire, personnes ne bougea, j'avais envie de crier, de les faire réagir, comment pouvaient-ils être aussi lâche. J'arrachais le pantalon de l'enfant, pour découvrir un trou béant dans la jambe l'enfant, qui ne cessait de s'agrandir, comme rongé pas de l'acide. C'était trop tard je ne pouvait plus rien faire, la chair continuer à pourrir, remontant peut à peut jusqu'à à la hanche du garçon.

Le garçon avait déjà perdu connaissance et n'allait sans doute jamais ce réveiller, les larmes ce mirent à couler sur mon visage. Je n'avais pu rien faire, ce n'était pas la première fois que je voyais ce genre de choses, j'avais déjà vue bien pire.

Mais je ne pensais pas un jour être encore réconforté à la mort, de devoir la donner. J'attrapais la flèche au sol la main tremblante, ma respiration s'accéléra, mon corp fut traversait de nombreux, pendant que le monde autour de moi se mit à bougeait.

Je rapprocher dangereuses la flèche du cou de l'enfant, juste au niveau d'une grosse altère et tranchais d'un coup sec, rapidement et avec agilité comme si j'avais fait ça toute ma vie, ce qui était le cas. La respiration de l'enfant se stoppa immédiatement, les battements de son coeur ralentissaient jusqu'à complètement s'arrêter, l'enfant ne souffrirait plus jamais, grâce à moi il avait perdu la vie.

Tous les muscles de mon corp, se détendirent habitué par ce genre de pratique, presque quotidienne chez moi.

"Ce marrant comme rien ne se perd, tu est toujours aussi doué pour tuer, mon ange" souffla une voie dans ma tête, que j'aurai préféré oublié, j'avais résister 6 mois, 6 mois sans cauchemars et de vis paisible que j'avais gâché en un acte.

j'essayais de m'enfuir mais tout me rattraper, la mort me suivait, que je le veuille où non elle serait toujours là. Il sera toujours là, à me hanter, j'étais faite pour tuer, il m'avait créé pour tuer et même si c'était dit de l'avouer j'adorais ça.

J'essuyai le sang poisseux qui recouvrait la flèche sur mon sweat noir, je relevais la manche de mon sweat découvrant une série de cicatrice, recouvrant tout mon bras, toute les vie que j'avais enlevé. Je plantais la pointe de la flèche dans ma chair assez fort pour me laisser une marque à vie, mais pas assez pour me vidé de mon sang. Le sang chaud se mit à couler doucement sur mon bras, je le laissais couler abondamment sur le sol, ce mélangeant au sang de ma victime.

Une 50ème cicatrice pour ma 50ème victimes, une autres morts causés par mes soin, je ne ressent rien, aucune empathie ou tristesse pour l'enfant. C'est mal je le sais, je suis un monstre ça aussi je le sais.

Je me tournais vers les enfants qui me regardaient tout avec des regard apeurés, je leurs faisait peur, ils étaient terrifiés et moi aussi.

Je m'approchais de l'équipe blanche, comme disait la voix, si j'avais enlevé une vie aujourd'hui, je pouvait au moins en aider quelques unes.

Quatre autres ados me rejoignirent, une fille et trop garçon, il ne cessaient de me fixer, ce qui me m'étais mal à laisse. La petite qui avaient alerté tout le monde avec ses cris, était dans mon équipe, elle portait toujours le nourrisson qui avait cessait de pleurer dans ces petits bras, qu'elle bercée doucement, serrant fort l'enfant comme si elle avait peur qu'il s'envole.

Je l'observait quelques instant, ne pouvant pas détaché mon regard de cette scène si touchante. La petite ressemblait étrangement la dame de la crèche ou je passé chaque matin, les même cheveux brun, largement, s'accordant à d'immenses prunelle bleu, je voyais pas le visage du nourrisson, mais pouvait parié qu'il avait les même.

Les cinq dernier ados, qui restaient rejoignirent l'équipe noir, une fois les équipe formés, la voix repris la parole :

- C'est parfait, nous allons pouvoir commencé, la première équipe qui trouve l'enfant dans la ville, ne meure pas. Déclara la voix comme si c'était la chose la plus normal au monde.

- Tout moyen de défense et accepté, tuait, blessait pour arriver les premier. Interdiction de s'approcher du grillage ou d'essayer par n'importe quel moyen de sortir de la ville, si vous voulait que personnes ne meure, obéissaient moi et tout ira bien, où presque. Continua la voix en rigolant à ces propre paroles.

Une alarme résonna dans les haut parleur, annonçant le début du "jeux", c'était partit, gagner pour survivre était la seul règles de ce jeux malsain, qui avait comme seul issue la mort, douce et cruel qui allait nous attraper, et nous étranglé, jusqu'à que toute trace de vie soit exterminés de nos pauvres corps torturé ...

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N.A : Salut !!!! Les petits hiboux ❤
Je suis vraiment désolé d'avoir mit autant de temps pour écrire ce chapitre 😅😅, qui est très cours en plus 😐.
Mais j'avais besoin de réfléchir, sur cette histoire que j'ai commencé trop rapidement 🐱.

Alors vous aimez le nom, de l'héroïne "Hina", merci beaucoup pour vos proposition 😻❤, mais ce nom va parfaitement avec le personnage et le thème que je veut " Hina" , "Astral" et "Luana 😸

Des théorie sur le passé de Hina ?
Ou qui pourrait être la voix psychopathe?😏

Bye !!!! Bye !!!! Les petits hiboux ❤

Enfance sans vie [Pause ]Where stories live. Discover now