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Chapitre 1

Lily-Rose

Lily-Rose Berlinski

Je prenais une grande inspiration ramassant les jouets qui se trouvait au sol.

Reste zen Lily. Zen.

– Bon Leo maintenant il faut aller dormir ! Souriais-je me contenant tant bien que mal.

Suite à mes paroles le petit garçon s'enfuie en courant quittant la pièce, me laissant seul ses jouets dans les mains.

Je vais le tuer.

Je soufflais bruyamment avant de remettre tout les jouets dans leurs caisse et quitter la pièce à mon tour. Je commençais à chercher le petit monstre dans toute les pièces de l'appartement.

– Leo, mon lapin si tu sort maintenant de ta cachette je t'assure que je ne le dirais pas à ta maman. Mentais-je espérant qu'il daigne se montrer.

Aucune réponse. Je continuais alors ma recherche exaspéré, cet enfant avait une réelle chance que cet argent m'étais important.

Je remarquais durant mes recherches, que se môme ne c'était pas gêner pour mettre l'appartement sans dessus dessous. La colère montait de plus en plus en moi, sachant pertinemment que je devrais tout ramasser avant l'arrivé de ses parents.

Je partis en direction de la chambre de ses parents, la dernière pièce qui restait et donc celle ou Leo devait forcement se trouver. Une fois à l'intérieur je balayais la pièce du regard a sa recherche, c'est lorsque j'aperçut des pieds dépasser du lit qu'un sourire satisfait apparue sur mes lèvres.

J'ai gagné.

Ni une ni deux je me baissa légèrement avant d'attraper ses jambes et de le tirer hors de sa cachette, une fois débout il me dévisageais d'un regard mauvais, près à refaire une bêtise, avant qu'il n'eu le temps de quoi que se soit je lui attrapa le poignet et le força à me faire face.

– Lâche-moi grosse vache ! Lança le petit garçon en essayant de se défaire de mon emprise.

Retenez-moi je vous jure que je vais commettre un meurtre.

«– Maintenant tu vas m'écouter et faire se que je te dis. Lançais-je à bout de nerf. Je te jure que si tu me désobéis j'appelle le monstre pour qu'il te découpe en morceau. »

Non je n'avais pas trouver meilleur menace, et je priais intérieurement qu'il allait se calmer.

«– Je suis pas bête grosse vache ! Les monstres sa existent pas ! Me dit-il. 
– Les monstres sa existent peut-être pas mais moi j'existe et je t'assure que tu continues tu finira vraiment en petit morceau. Crachais-je excédé.»

C'est suite à ses mots qu'il se raidit, j'en profitais donc pour lui dire d'aller se brosser les dents, se qu'il fit immédiatement.

J'y étais peut-être allez un peut fort... Mais mes regrets s'atténuèrent bien vite me rappelant son comportement.

«– Après ça tu vas direct au lit ! Lui dis-je. Je viendrai vérifier. »

Satisfaite qu'il n'ait émit aucune protestation j'entrepris de commencer à ranger l'appartement.

C'est après une bonne demis-heure que j'eu entièrement de finis de ranger. Avant d'aller prendre place sur le canapé je vérifiais que Leo était au lit, et je fus soulagé de voir qu'il m'avait obéit. Je partis donc sur le canapé avant d'allumer la télé attendant impatiemment l'arrivée de ses parents. J'étais exténuée, je n'avais qu'une envie : rentrer retrouver mon lit.