Et si c'était lui .. [Antoine Griezmann]

Ça se voit dans ses yeux

Je me réveillais ce matin en sursaut. Antoine dormait toujours et semblait paisible. Je sortais du lit ce qui fit bouger Antoine, et allait trouver des vêtements à me mettre. Je regardais l'armoire que je partage avec Antoine et finalement je trouvais quelque chose de plutôt potable.
Je filais à la douche. Je restais longtemps dessous. J'ai tellement peur.
Une fois que je sortais de la douche je m'enroulais dans une serviette pour me sécher et je m'habillais.

Je sortais de la salle de bain légèrement maquillée et retournais dans la chambre. Antoine s'était réveillé vu qu'il n'était plus dans le lit. Je descendais a la cuisine afin de prendre un petit déjeuner. Je n'avais pas très faim mais je faisais l'effort de manger.
Antoine venait de se lever, il avait l'air complètement détendu. Genre sa lui fait rien que sa famille vienne !

Moi : T'a pas l'air d'être stresser par la venu de ta famille.
Antoine : Bah non, normal. Pourquoi t'es stressée ?
Moi : Non.
Antoine : Ouais, c'est pour ça que tu mange pratiquement rien comparer à d'habitude.

Il n'avait pas tord. Je débarrassais ce que j'avais puis je montais à la salle de bain pour me laver les dents. Quand j'ai vu ma boite de tampons sur le meuble je suis tout de suite allée voir la date qu'on était. Ho non ! J'espère que ce n'est qu'un retard. Oui c'est un retard de règles tout simplement. Ça ne peut pas être autre chose qu'un retard. Je me chassais des mauvaises idées de ma tête puis je retournais à ce que je devais faire : c'est à dire me laver les dents.
Je remettais mes cheveux un peu en place puis je redescendais.

Antoine montait alors que je faisais un peu de ménage. Je regardais l'heure ; il était 11:25.
La sonnette de la porte se mis à retentir. Le stress m'envahissait. Je m'approchais des escaliers.

Moi : ANTOINE DESCEND !! ÇA A SONNÉ !!
Antoine : BAH OUVRE JE PEUX PAS !

Je respirais un bon coup puis me dirigeais vers la porte. Je posais ma main sur la poignée et ouvrais. J'affichais un sourire en voyant la famille d'Antoine. Je les laissais rentrer et chacun leur tour me faisaient la bise. Je fermais la porte puis je les dirigeais vers le salon. On s'installait sur les canapés et je restais debout ; je ne sais pas pourquoi.
Antoine descendais enfin et brisais ce moment un petit peu gênant entre sa famille et moi. Ça se voyait que c'était une famille soudée. Je les enviais presque... j'aimerais tellement que mes parents et mon frère soient la aussi...

Antoine : Elle est pas la Maud ?
Isabelle : Non, elle a pas pu venir elle était en plein travail.
Antoine : Ha bon d'accord. Bon je vais chercher l'apéro.

Je partais avec Antoine vers la cuisine et l'aidait à servir l'apéro. Je finissais par m'installer sur une chaise. On trinquait tous puis nous discutions vivement. On faisait connaissance.
Les parents d'Antoine sont vraiment incroyable, pleins de vie et gentils. Je regardais Antoine parler par la suite avec ses parents. À voir ça, ça me faisait sourire automatiquement. J'étais tellement fixé sur Antoine que je n'avais pas fait attention que son frère, Théo, me parlait.

Théo : Et comment vous vous êtes rencontrer ?
Moi : C'était à Clairefontaine. C'est la bas que c'est fait. On se cherchait beaucoup au début puis à la fin d'un match il m'a embrassé.
Théo : Ha quel charmeur ce garçon.

On rigolait puis le sujet gênant venait d'arriver. Je ne voulais pas en entendre parler alors je me suis levée et je suis allée dans la cuisine.

Ellipse
Point de vue de Antoine Griezmann

Je marchais devant avec ma mère pendant que mon père et mon frère discutaient avec Emma.

Maman : Alors dis moi mon fils, tu es heureux ?
Moi : Oui, elle a changé ma vie Emma. Jamais j'aurais pensé pouvoir aimé autant que je l'aime. Je crois que c'est elle, c'est la bonne, c'est la femme de ma vie.
Maman : Ho mon fils !! Tu n'imagine même pas à quel point je suis heureuse ! Tu sais, elle t'aime vraiment pour ce que tu es, juste toi Antoine, pas le Antoine Griezmann le footballeur, mais toi.
Moi : Mais comment tu peux le savoir ?
Maman : Ça se voit dans ses yeux, dans son sourire quand on lui parle de toi. Je l'ai remarqué tout à l'heure.

Ce que me disait ma mère faisait sourire. Le destin fait bien les choses il faut croire.
Elle trifouilla dans son sac. Je me demande bien ce qu'elle cherchait. Elle me tendait une petite boîte.

Maman : Tiens. C'est celle de ta grand mère, quand le moment sera venu, tu sauras quoi en faire.

Je la remerciais par le regard. Et la pris dans mes bras. Le fait que ma mère accepte que j'ai Emma dans ma vie est vraiment important.

Fin du point de vue de Antoine Griezmann.

J'avais fais plus ample connaissance avec Alain et Théo. Ils sont vraiment sympas.

Alain : Bon et bien bienvenu dans la famille Griezmann Emma.
Moi : He bien merci alors.
Alain : A quand le bébé ?
Moi : Oula, pas pour tout de suite, et puis nous n'avons pas vraiment parler de ça.
Alain : Mais est-ce que tu en veux ?
Moi : Oui bien sûr, mais pas maintenant, je suis pas prête.

Il me fit un petit sourire que je pouvais qualifier de triste, je suis désolée pour le moment il est trop tôt pour que j'ai un enfant avec Antoine, je viens tout juste de reprendre ma carrière dans le foot et puis ça fait un peu trop court la durée de notre relation pour que je sois enceinte.

On revenait tranquillement vers la maison, j'étais cette fois-ci avec Antoine, qui me tenait par la main. Je lui avais raconter ce que m'avait dit son père, je le disais en rigolant, mais lui, il rigolait pas trop.
On dirait que ça l'avait un peu blessé que je dise que j'en voulais pas pour le moment. J'essayais de le rassurer.

Moi : Ça ne veut pas dire que j'en voudrais jamais hein ! Au contraire, je veux que tu sois le père de mes enfants, toi et toi seul, pas un autre. Je ne veux que toi.

Il prenait mon visage entre ses mains puis m'embrassait. Je le sentais sourire contre mes lèvres.

Je me retournais et je voyais ses parents entrain de sourire en nous regardant ainsi que Théo.
Nous étions enfin rentrés. Alain, Isabelle et Théo étaient partit dans un hôtel car ils contaient rester à Madrid quelques jours.

Antoine :  Emma ?
Moi : Oui ?
Antoine : Je t'aime.
Moi : Moi aussi je t'aime. Plus que tu ne le crois.

Il avait passé ses bras autour de mes hanches et moi à son cou. Il se collait plus à moi et commençait à intensifier ses baisers. Je savais où il voulait en venir.

La fatigue avait pris le dessus. Je m'endormais dans les bras d'Antoine. Cet homme fait de moi la femme la plus heureuse.

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Dans cette histoire Antoine n'a pas sa fille et Erika n'existe pas. Non pas que je les aime pas, mais c'est pour l'histoire.

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Bisous bisous