Chapitre 10 : Enlevée

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Avant de commencer je vous conseille de lire ce chapitre avec la musique que j'ai mise ci-dessus mais vous n'êtes bien évidemment pas obligé. (Attention je pense que pour certaines elle peut faire un peu peur mais si vous n'aimez pas vous avez juste à la mettre sur pause) voilà bonne lecture !

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-- Samedi Point de vue Aurélia --

Je me réveille doucement sûr se qui semble être un sol en bois. J'ai un peu mal puisque je suis allongé à même le sol. Mais au faite je suis où là ? J'essaie de me rappeler se qu'il c'est passé et.. Oh non ! Je me souviens maintenant, j'étais censé avoir rendez-vous avec Adrien et c'est ce salaud d'Enzo qui est venus ! Et puis trou noir.. Je me suis évanouie.

E : Ah ! Sa y est on se réveille ? C'est pas trop tôt ! Ça fait 2h00 que tu n'as plus de réaction. J'aurais presque cru que tu étais morte mais ton jolie petit ventre se soulevait à un rythme soutenu.
A : Toi ! Laisse moi partir ! Tu m'as fait assez de mal avant que je déménage. Ne recommence pas s'il te plaît..

Je me mis à fondre en larmes. Comment est-ce possible qu'il recommence à me faire du mal ? Je l'ai fuit et il m'a retrouvé. Je ne lui est pourtant jamais rien fais. Il n'est pas humain ce gars.

E : Te laisser partir ? Alors que je t'ai sous la main maintenant ? Ça serait un sacrifice. Non. Toi tu va rester tout gentiment ici avec moi.

J'observe un peu l'endroit. C'est une simple cabane avec un lit double mais pas plus. Il n'y a pas de chauffage et nous sommes le 22 octobre.. Autant dire que si il me laisse ici sans vêtements plus chaud où sans couvertures je vais attraper froid à coup sûr.

-- Le soir 22h00 --

Je commence à avoir faim mais je n'aurais apparemment rien à manger ce soir. Il c'est effectivement fait un feu de camp dehors pour faire cuire des pâtes mais ne m'a rien donné. Moi j'ai juste hâte qu'il parte chez lui pour que je puisse prévenir Élodie et mes parents de cette désastreuse situation.

Oui je peux les prévenir car se boulet à oublier de me prendre mon téléphone mais c'est une bonne nouvelle pour moi. Je le vois revenir du dehors avec des couvertures. Finalement il n'est peut-être pas aussi con que je ne l'aurais pensé.

E : Crois pas que ces couvertures sont pour toi. Rêves pas trop ma jolie. Non elles sont pour moi, je vais rester ici avec toi ce soir. C'est chouette non ?!

En faite si.. C'est vraiment un con. Je vais sortir comment d'ici moi ? Et surtout que vas-t-il me faire se soir où les prochains jours ? Rien que d'y penser ça me terrifie.

E : Mais si tu veux tu pourras te coller à moi pour avoir plus chaud. Ça ne me dérangera pas du tout.
A : Plutôt mourir !
E : Comme tu voudra.

Il m'indiqua le lit pour que j'y aille. Je n'ai plus la force de lutter, je suis fatiguée, du coup je vais sur le lit sans broncher. Il me rejoins rapidement. Mon dieu ! Quel torture ! Il faut vite que je sorte de se trou à rat. Il s'approche de moi.

E : Je veux juste un petit bisou avant de dormir et je te laisse tranquille pour aujourd'hui.
A : Non ! Vas crever.
E : Aller juste un petit bisou et je te laisse tranquille. De toute façon je ne te laisse pas le choix c'est soit un bisou et on en parle plus où soit je te frappe jusqu'à ce que je l'ai. Je te laisse choisir.

À contre Coeur je m'approcha de lui et pinça mes lèvres un maximum pour éviter d'être en contact avec les siennes et on se fît un bisou..

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