𝑪𝒆𝒕𝒕𝒆 𝒏𝒖𝒊𝒕-𝒍𝒂̀. | PAUSE |

prologue.

Si seulement j'avais su ce qui allais arriver je serais passer par le hall, me faire tuer par mes frère que vivre cette chose horrible qui hantera le reste de mes jours.

Je descendais les escaliers le plus tranquillement possible, je traverse cette cave en sachant très bien ce qui ce passe ici qu'elle est squatter et reconnue parce qu'elle est aménager pour des choses pas pour les filles comme moi. J'entendais des gémissements, paniquer je me suis mis à courir pour sortir vite d'ici.

J'avais enfin atteint la porte de sortie, je pensais que plus rien n'allais m'arriver.. que j'allais rentrer chez moi tranquillement m'faire crier dessus mais au moins je serais encore en vie et j'aurais réussi à esquiver mes frères.

Jusqu'à que je sente cette mains s'agripper à  mon épaule et me jeter comme une moins que rien au sol.

Pendant quelque seconde j'ai espérer que sa soit l'un de mes frères qui m'ai vu et qui est envie de me frapper, j'aurais préféré au lieu de sa, la pire chose qui pourrais m'arriver et à n'importe qu'elles autres filles.

J'ai pas réagis tout de suite, j'aurais dû, je comprenais pas ce qui m'arrivait, jusqu'à ce qu'il ce positionne au dessus de moi et commença à tripoter les endroits les plus intimes de mon corps.

Je me débattais comme je le pouvais, je criais, je griffais, je demandais pardon pour qu'il me laisse partir, je m'excuser mais il voulais rien entendre tout ce qu'il voulais c'est ce que je pouvais lui offrir. J'en pouvais plus il l'était trop fort pour moi. J'ai senti son poing s'abattre sur ma mâchoire, je voyais floue tellement je pleurer. Il m'attrapa les cheveux tellement fort que je pensais qu'il allais me les arracher, je senti mon corps traîner et une porte claquer quelques secondes plus tard.

Il à réussis à me déshabiller complètement je pouvais sentir le béton du sol sur ma peau nue, je me débattais encore et encore j'implorais Dieu pour que quelqu'un arrive, il m'a donner un coup de poing en pleine mâchoire ce qui m'a assommée,  je pleurais toute les larmes de mon corps, c'est tout ce qu'il me restait à faire. Je continuais à lui demander pardon à l'taper comme je le pouvais j'était fatiguer il continuait de me frappais au visage pour que j'arrête de me débattre, mais cette douleur la n'était rien par rapport à celle que je ressentis entre mes jambes.

Il à réussis à volé ce que j'avais de plus précieux au monde.

Ce soir la, j'ai tout perdu.