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#histoireVRAi...
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Toute fière, ambitieuse et studieuse comme Reine de Saba, après ma sorti de la FACulté. Je souffrais du chômage. J’entamais une peine ardue, à la recherche d’un métier qui correspond à ma vocation. Hélas ! Peine perdue. Insomnie et torture continue, à l’infini. Je réfléchissais, après une longue attente chez moi, à être embauchée dans n’importe quel poste. Liberté et gagne-pain étaient ma première nécessité. Sortir de l’esclavage et des menottes de la maison close étaient mon objectif.
Un jour comme les autres jours, dans la ruelle, au bord du trottoir de la cité, j’aperçus un bel homme, la quarantaine environ, blond et de grande taille, en costume noir. Mes yeux rencontrent les siens. Hop ! Coup de foudre dès le premier regard. Je souhaitais une histoire d’amour comme les histoires des films romantique . « Voilà mon âme-sœur qui me comblerait de bonheur extra-ordinaire ! Voici mon prince charmant qui m’envolerait en éclat sur son avion de douceur ! Je serais emporté au paradis des rêves et des fantasme de mon âme ne voyant que de l’univers merveilleux et fantastique avec lui.» Mais c’était un songe en pleine journée. J’étais comme hypnotisée par son charme éblouissant.
Soudain, j’avais constaté une petite écriture noire sur l’enceinte dorée à côté de la porte où il était debout entrain de fumer l’amertume de sa cigarette : « I. Xtrêm . Bureau d’avocat.» J’ai décidé sur le champ d’être sous ses ordres.
Heureusement, c’était mon porte-bonheur. Comme son ancienne adjointe était tombée enceinte et inapte à effectuer ses tâches de paperasse, par coïncidence, par miracle, il manquait du personnel chez lui.
Cette fois, je voulais m’occuper pour voir monsieur Xtrême et attiser la soif de mon désir.
Cela fait trois semaines que je vis chaque matin des femmes de toutes les couleur, entraient et sortaient. Une foule qui défila devant moi : femmes voilée, femmes civilisées, etc. Mon maître s’est spécialisé dans les affaires du divorce. En contact permanent avec le beau sexe. Je meurs comme une tigresse de jalousie. Elles étaient toutes soit des veuves, soit des femmes divorcées.
Je m’ennuyais après un mois puisque le maître ne m’accorde pas on temps précieux. Monsieur X m’accorde un temps insuffisant. J’entendais parfois quelques « ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! » de femmes venant du côté de son bureau. Comme je n’étais pas curieuse, je joue la sourde oreille. Cette monotonie m’a poussé jusqu’à l’espionner. Un jour d’été, je m’approchai du seuil de la porte de son bureau, cœur remplit de fureur et de peur. Je regardais à travers la serrure. A travers le gouffre de sa porte, mes yeux tombèrent sur une cliente, penchée, face au mur, collée par lui, par derrière. Un marteau-piqueur entre et sort d’une rapidité du train d’une fusée, d’une toupie. .I.X. termine sa besogne et remet la braguette de son pantalon. La meuf divorcée se voile et s’habille. Je rejoignis mon bureau toute choquée. Il possède un colosse bien énorme entre ses cuisses qui ne me laisse pas dormir. Je l’imaginais mes nuits. Grand secret de mon maître devient l’objet de mes fantasmes.
Depuis ce jour, je le guette continuellement, à travers le petit trou de la porte. Ma flamme s’agrandit au fil du temps. J’étais prêt de lui toujours. Même pas un regard, même pas un signe, même pas un indice, me voyant le matin, à son entrée, le soir lorsqu’il sort. Jamais ne faisait attention à ma présence. Jamais ne me donne un sens à mon existence. Transparente, invisible, inexistante pour lui comme la vapeur chaude d’un volcan dormant.
Une idée me traverse l’esprit. Celle de retourner la veste et de changer mn look. Application ! J’enlève le voile et je ne m’habit qu’avec des courts tailleurs excitants.
J’avais réussit quand même à voler quelques regards en l’air de sa part.
C’était un samedi soir. J’avais de la paperasse à régler et des affaires à classer. Samedi, on ne bosse pas mais je voulais terminer ma tâche pour prendre une semaine de congé. .I.Xtrême, mon maître, me surpris au bureau, venant chercher un dossier important, en urgence, en jokking. Il me salua, entre dans le bureau, ferme derrière la lui porte. Il m’interpella après un quart d’heure. J’entrais, tout inquiet parce que l’homme ne trouve pas ce qu’il cherche, me demandait en secours. Je commençais à scruter ses armoires chargées de dossiers en insistant à bien se pencher jusqu’à ce que mon string rouge soit visible dans le champ de sa cible. Je me retournais pour lui annoncer la nouvelle : son dossier était caché entre ses livres. Je le trouvais, les yeux exorbité, bien ouverts, qui voulaient me dévorer vive et manger mon arrière boutique. Je m’approchai de lui. Oups ! Son marteau-piquer déforma son survêtement. La rondelle de son chapeau était déjà sur son ventre. Elle sent l’air, étranglée par son caleçon.
Toute émue, bouche ouverte, mon regard se fige sur l’objet de virilité. Debout, courait, éteignit la lumière, tira les rideaux. Que le sombre noir régna sur la place ! Mon boss X. se jeta sur moi comme un tigre qui prend sa gazelle. Il lance sa main sur son bureau en faisant tomber tous les affaires qui étaient, me posa sur sa table à ventre. M’ôta ma jupe, ses doigts tinrent le fil élastique de ma culotte, me pénétrait, m’enfonçait durement et violemment. Je fermai les yeux toute en profitant du la mécanique de sa machine. Quelle est rapide sa queue ? Il me baisait comme un lapin chaud.
Mon cul a subit une courte torture. Bien gros et rouge. La vitesse de son appareil m’avait perdu l’esprit. Je me réveillai, la nuit, dans une chambre d’hôtel, toute nue, des gouttes sur les bords de mes deux rondelles. Je me levai, satisfaite de plaisir

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