Chapitre 3 : Matin Agité

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|Payet|

J'avais peu dormit cette nuit, je pensais à Hugo et à ce qu'il m'avait dit. Il avait quitté sa femme, à présent j'avais peut être plus de chance finalement.

Mon téléphone vibre et je vois un message de ma femme, c'est vrai que je l'avais oublié depuis hier soir. Je déverrouille mon portable et lis ce qu'elle m'avait envoyer :

"Descend s'il te plaît, je t'attends dans le hall."

Je ne comprend pas, mais pourquoi est elle venu ? Et elle me parle si froidement, c'est étrange. J'enfile rapidement un pantalon et un T-Shirt puis jusque dans le hall. Elle est devant moi, apparemment impatiente, avec un papier en main. Je lui demande :

- Qu'est ce qu'il y a ?
- J'ai les papiers du divorce, elle me tend des dossiers et un stylo, signe ici s'il te plaît.
- Mais attend on devrai en parler, tu va un peu trop v ... elle me coupe la parole.
- Pas du tout j'ai bien réfléchi et on en avait parler avant que tu partes. Et j'en ai marre que rien ne ce décide.
- Mais ... Et les enfants ?
- J'en ai parler avec le juge, tu les aura une semaine sur 2 à partir de la fin de l'euro.
- Mais ...
- Signe là et c'est fini ... Allez !

Je signe dans la petite case et elle claque la porte en me laissant seul dans le hall à 9 heures du matin.

Je part dans les cuisines vides et prend une bouteille de lait qui traîne. Je la vide à moitié, je craque et commence à pleurer. Une main se pose sur mon épaule et j'entend une voix derrière moi :

- Hey mec, me dit Olivier, qu'est ce qu'il se passe.
- Rien ... Je viens de divorcer.
- Ooh mince j'suis désolé.
- Non c'est rien, faut que je me change les idées, dit je en me calmant.
- Viens ! Avec Hugo et Antoine on regarde la télé, je prend juste des Pepito et on monte.

Il en prend 2 paquets et les glissent sous son T-Shirt. Nous montons les escaliers et nous rendons jusqu'à la chambre de Giroud. En entrant je vois Griezmann assis en tailleur devant le poste et Hugo sur le lit en train de lire un livre torse nu. Si beau. Je rougis un peu en voyant qu'il me regarde :

- Dimi ... dit il en s'approchant de moi, ça va ? Tu as pleuré ?
- Oui ... je ...
- Sa femme l'a quitté, lui répond Olivier a ma place.
- Sérieusement ? Je suis désolé ...
- Meeerde, dit Antoine.

Lloris me prit dans ses bras, il sent tellement bon. Je me sers un peu contre lui quand Antoine brise le silence en me prenant par l'épaule :

- Allez viens, il prend les biscuits que Giroud avait caché, on va manger des Pepito devant la télé.

Nous asseyons tous sur le lit d'Olivier et regardons des programmes stupides.

Je m'assis à côté d'Hugo juste pour sentir son parfum, il sens si bon ...

Complicity |Payet×Lloris|Where stories live. Discover now