Maïssa - Pour que tu m'aime

Partie 1

On continue a papoter entre filles et Issa il rentre en claquant la porte , il rentre dans la cuisine grave énervée , il sert la main a Dounia

Issa : Selem Dounia

Il me prend le visage

Issa : T'es tombé hein ?!

Il passe sa main tout doucement sur mon bleu bien visible sur ma joue il me regarde dans les yeux , m'embrasse sur le front et finie par me lâcher

Issa : MAMA ?!

Yema : QUOI ?

Issa : IL EST OU BABA ?

Yema : AU TRAVAILLE ENCORE !

Il sort de la cuisine , on avait finie le dîner , on allât s'affaler devant la télévision a côter de Issa et Isaac comme deux grosse et au bout de 10 min le tel' de Dounia sonne c'est sa mère et je répond pour lui demander si elle peut dormir ici

Moi : Allô ?

Tata : Dounia ?

Moi : Nan c'est Maïssa

Tata : Benthi sa va ?

Moi : Oui tata et toi ?

Tata : Sa va , ou est Dounia

Moi : Elle est à coter de moi

Tata : Dis lui de rentrer il se fait tard et je ne veut pas déranger ta mère

Moi : Tata , laisse la dormir a la maison , elle rentre demain soir promis

Tata : Nan ma fille , ta mère est sûrement fatiguer je ne veut surtout pas la déranger avec une charge de plusse

Moi : Donc moi quand je vient chez toi je suis une charge ?

Tata : Jamais ma fille ! Toi tu peut rester pour toujours

Moi : Pareil pour Dounia !

Tata : *rire* Aaah une tête aussi dur que le béton ... Bon , Dounia peut dormir chez toi mais demain sans faute elle rentre a la maison !

Moi : Ouuui merci tata merci , merci , merci

Tata : *rire* Aller Maïssa passe moi ma fille que je lui parle un peu

Je lui passe Dounia et au même moment la porte s'ouvre . Je tourne ma tête : c'est mon père . Son regards si noir ce pose sur moi et pas une seul fois il oublie de me faire ressentir qu'a ces yeux je suis l'exclue de la famille. Je tourne le regard aussitôt et tombe sur celui de Issa qui se lève

Issa : Baba vient on parle deux minutes !

Baba : Parle !

Issa : En privé !

Sa voit était sec et méchant et je savait déjà de quoi ils allaient "parler" pasque ce mots n'était jamais vraiment utiliser entre mon père et mes frères c'était plutôt un dialogue de sourd qu'ils allait s'échanger et la principal concerner était ni plus ni moins que : moi . D'ailleurs le mots "privé" n'exister pas non plus dans cet maison car en plusse de nous tout les voisins entender nos nombreuses dispute . Dounia ce méfiant de l'ouragan ce dépêchait de finir la discussion qu'elle partager avec sa mère