14 juin 2016

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Cher rantbook, 

je n'avais pas de meilleur titre aujourd'hui.

Je t'ai parlé de l'enflure ? Habituellement je l'appelle mon cerveau car c'est lui qui bosse. GaelleLaurier l'a gentiment  appelée ma muse mais je vais rester sur l'enflure, ça lui va mieux.

L'enflure est actuellement en train de me prendre la tête, logique pour un cerveau allez-vous me dire. En plus d'avoir créé un chapitre d'Immortels qui va en étonner plus d'un (moi incluse), l'enflure m'embête avec une nouvelle histoire. Je n'en avais pas assez en cours. C'est ma faute, je m'étais demandée si j'étais capable d'écrire une New romance bien codée, bien ancrée dans la réalité mais tout en brisant les dits-codes. L'enflure m'a tout d'abord sorti une romance qui semblait normale, une étudiante qui rencontre par hasard un mec riche et pouf grand amour, ça avait l'air bien dans les clous.  Mais, (mal)heureusement, il y avait un mais, le mec était trafiquant d'armes, enfin, il était dans "l'import-export". Ça c'est Roman Heartache, une romance somme toute classique en fait, tant qu'elle ne sait pas qu'il est trafiquant tout va bien. Seulement l'enflure porte bien son nom (et en ce moment je regarde pas mal de séries type NCIS, Alias, Esprits criminels, etc.) donc il a dévié vers un scénario type kidnapping/syndrome de Stockholm, avec un challenge de taille : comment sortir d'un syndrome de Stockholm pour passer vers une véritable histoire d'amour ? De manière crédible j'entends. 

J'avais déjà le problème avec Marcus et la relation maître/esclave, ça m'a pris des mois pour trouver une solution potable et l'enflure me recolle un truc pareil. Evidemment la solution de Marcus ne marche pas, c'eut été trop simple. 

Quoi ? Laisser tomber cette histoire ? J'aimerais bien mais l'enflure me l'envoie dès que j'ai un cahier sous les yeux et un stylo entre les doigts. Enflure je vous dit. 

Je hais mon cerveau. 

Axel. 



Rantbook 2016Où les histoires vivent. Découvrez maintenant