Lettre a Dieu

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Azy j'écris ce texte, je sais qu'c'est hors contexte,
Mais sans conteste jvais essayer dlacher du leste,
J'en ais, gros sur le coeur, gros sur mes peurs,
Trop de rancoeurs pour un rappeur, j'apprends de mes erreurs.

Eh ltout puissant, si tu m'entend j'ai, quelques tourments,
A tout moment j'ai l'impression de prendre un vent,
Faudrait qu'tu m'explique, c'est quoi ce monde diabolique,
Ta création en pleine destruction, bataillant en ton nom,
Tu pourrais y remédier, nous indiquer quel chemin emprunter,
Au lieu de ça impossible de te rtrouver ici-bas,
Explique moi, pourquoi tu laisse faire ça,
Papa, nous sommes tes fils tes créations,
Je rêve de, réconciliation, pour ça donne nous ta, bénédiction.

J'ai jamais appris à prier,
Seulement à mrelever,
Aujourd'hui désespéré,
Je m'autorise à te heler,

Comme Cain et Abel, on a pas appris de l'ange Gabriel,
Trop occupé à, nos guerres sempiternelles,
S'entretuer pour, la vie éternelle,
En plus de nos conflits, générationels,
Et des folies matérielles,
Explique leur, que lvrai bonheur,
Vient, malgré les erreurs,
Pas bsoin, de tuer les leurs pour une histoire, de chamailleurs,
En ton nom ça commet des atrocités,
Même, dans les cités,
Ils trouvent le moyen de, se fourvoyer

J'ai jamais appris à prier,
Seulement à mrelever,
Aujourd'hui désespéré,
Je m'autorise à te heler,

Jpeux pas m'empêcher dminteroger,
Quel genre de père regarde ses enfants, s'entretuer,
Pour ton amour, ils stuent tout les jours,
Finir dans lventre des vautours, jcrois qut'a un drôle d'humour,
T'étais où pdt Hiroshima, ou qd on détruit tes, micro climats ?
Qd on opprima, decima, extermina tes créations,
Drôle de daron lmien aurait dja pété un plomb,
C'est ça lpris d'un ticket au paradis ? Pour moi non merci jveux pas dcette parodie,
Quelle tragédie quand même les erudis son abêttis,
Moi jvous ldit, ça mcoupe l'appétit.

J'ai jamais appris à prier,
Seulement à mrelever,
Aujourd'hui désespéré,
Je m'autorise à te heler,

J'ai jamais appris à prier,
Seulement à mrelever,
Aujourd'hui désespéré,
Je m'autorise à te heler...

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