Chapitre 1 - Jour après jour

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C'était des jours vraiment catastrophiques et inexplicables. Tout le monde parlait du même sujet. Le plus cool, c'est que j'ai pus vivre ce moment fantastique. Je cherche beaucoup en ce sujet depuis, ça m'interesse trop. Si on raconte à quelqu'un cette histoire vrai, il dira : c'est une fiction.

Je m'appelle Lem, j'ai 15 ans. Je vis à Boston, aux États-Unis. Je suis de quelqu'un plus ou moins sympathique qui aime aider les gens. Je ne suis pas solitaire, au contraire : j'ai beaucoup d'amis dans mon quartier et également au collège. Ah le collège!

Aujourd'hui, ce midi-là, j'attends mon père pour me ramener à la maison. Je déjeune pas à la cantine, cependant. Parce que le jour de la rentrée, ben une fille a été empoisonné en mangeant des poissons. À ce moment-ci, tout les parents refusèrent de laisser leurs adolescents manger là-bas.

Alors que j'étais avec quelques amis en train de papoter des patatis patatas, j'entendis le bruit de la voiture s'égarant auprès du trottoir.

C'était mon père, je le reconnus vite.

- Lem, m'appella le gardien qui était posé devant la porte avec sa casquette en cuir, ton père est venu y'a longtemps, gros paresseux.

- Je ne l'ai pas remarqué du tout, répondis-je. Je l'ai entendu mais je voulais pas partir.

Avec lenteur, il s'approcha de ma face. Il me fit les gros yeux de colère absolut. Alors que moi, je resta calme. Ke salua mes amis, et se retourna vers mes gros oignons. Il s'approcha de moi vivement de plus en plus, et me prêta un doigt menaçant. J'éclata de rire.

Mon père me toucha à partir d'une grosse fenêtre, et me fis un clin d'oeuil. Je me précipita vers la sortie, en riant. Le gardien, qui était juste à côté de la porte, cracha au sol. Mais je m'en fous.

Mon père me tira du poignet de la main et courut vers sa voiture. J'essaya d'ouvrir la porte, mais c'etait fermée. "Les clés!" murmurais-je. Et il m'ouvrit la porte du derrière dans laquelle je posa mon cartable. À son tour, il s'installa et égara une autre fois la voiture sous l'ombre d'un arbre, et on attendit ensemble qu'une douce température prit place. On en profita simplement pour parler du matin de chacun de nous.

- Alors, ça s'est passé comment la matinée? demanda-t-il curieux de le savoir.

- J'ai eu les notes de français, répondit-je en se moquant un peu. Tu sais hein? La grammaire, conjugaison, orthigraphe et vocabulaire.

- Ah bon? s'exclama mon père. Combien?

Je regarda vers le bas. Il le savait! Je suis très nul en ces matières, du coup, je murmura les nombres suivants : 3,50 - 6,00 - 0,50 - 7,75.

- Sur vingts? me demanda-t-il.

- Ouais.

Sans hésiter, la voiture démarra et on prit la route vers la maison. Je colla mon nez contre la vitre, et visualisa les magazins et les gens, genre rien à foutre de la vie quoi.

Arrivés à destination, l'appartement évidemment, ma mère nous attendait près de la porte. Ma soeur, Meryem, me regardait de la fenêtre du haut. On monta ensemble.

- Maman, dis-je confus. Que va-t-on manger?

- Eh ben.. répondit-t-elle d'un air attentif. Des spaghettis!

Je m'allongea sur le fauteuil, et regarda la télévision comme d'habitude. Vous savez, les programmes séries, comme The Walking Dead ou Forever. Waouh, j'adore.

Je m'y étais plongé complètement. La temps passait sans que je m'en rend compte. Je déjeuna pas. Je resta dans une articulation.

- Tu iras à l'Université de Georges, m'annonça ma mère.

Utile à ton paysWhere stories live. Discover now