Pétage de plomb

Depuis le début
                                    

- A...arrête gamin! Tu es... Complètement... Fou!

- C'est toi le taré et tu vas mourir pour tout ce que tu as fait!!! ››

Patron arrivait à peine à bouger sous les coups répétitif de son "frère", mais dans une monté d'adrénaline il se releva d'un coup malgré la douleur et le sang qui coule.

‹‹- Ah tu veux me tuer gamin!? PERSONNE N'ARRIVE À TUER LE PATRON!!!!

- C'est ce qu'on va voir!! ››

Panda pris la lampe de chevet et la fracassa sur la tête de son double en noir qui s'effondra sur le sol, inconscient.

‹‹- Je gagne toujours ! Dit-il hors de lui. ››

Patron se réveilla dans sa chambre, accroché à une chaise, avec un énorme mal de crâne. La chambre était plongée dans le noir, un rayon de soleil lui frappant le visage traversant les rideaux clos.

‹‹- Bordel de putes! Souffla t'il. T'es là la japonaise!?? Montre ta petite gueule d'animal domestique !!

- Enfin réveillé "PATRON"!? Tu n'as pas trop mal à la tête j'espère !? Dit-il d'une mine faussement attristé.

- Ta gueule et détache moi si tu as des couilles!!

- Au fait j'ai pas trop serré les menottes j'espère !

- DÉTACHE MOI!!

- C'est hors de question ! Dit-il d'un sourire psychopathe.

- C'est quoi le projet gamin?

- De quoi?

- Tu as bien un projet, tu ne ferais pas ça pour rien! Alors quit à creuver explique moi gamin! ››

Panda explosa de rire à s'en tenir les côtes, pas un rire joyeux, non un rire qui donne la chaire de poule, un rire comme on en entend qu'une fois...

‹‹- Oh bordel mec, on dirait un scénario digne d'un mauvais film, tu sais, là je suis sensé t'expliquer mon plan pendant que tu arrive à détacher tes mains et lorsque je m'apprête à te flinguer tu me saute dessus ! Sauf que ça marche pas! Moi je vais t'expliquer tout en te torturant pour au final te tuer!

- T'aurais les couilles de me flinguer la japonaise? Ce serait bien la première fois ! ››

Le maître lui donna un violent coup à l'abdomen pour lui faire regretter ce qu'il venait de dire. Sous le coup de la douleur, l'homme en noir se plia en deux, toujours accroché à la chaise.
Il lui donnait coup sur coup, autant sur la tête que dans les parties, mais lui laissant les lunettes jusqu'au dernier moment alors que le "criminel" était déjà au bout de sa vie. Il lui les retira très lentement, lui soulevant la tête pour le regardant dans les yeux.

‹‹- Alors, on fait moins le malin sans ses précieuses lunettes hin!?

- ...

- Tu gardes toujours les tampons usagers de tes conquêtes qui ont leurs règles n'est pas!? ››

En signe d'affirmation il cligna des yeux, lui étant très difficile d'articuler le moindre mot.

‹‹- Ils sont où encore?

-... ››

Le Patron fixait son tortionnaire toujours la tête baissée et les mains accrochée à la chaise. Celui-ci s'impatienta et lui donna un nouveau coup lui cassant le nez.

OS's Mathieu SommetOù les histoires vivent. Découvrez maintenant