Plus rien ne sera comme avant.

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Bosco: monte à l'avant.
Il me montre sa voiture, je monte et met ma ceinture, bosco monte aussi sur le siège arrière il y'a des liasses de billet et des armes. De l'argent sal.
Bosco: t'aime l'argent princessa.
Moi: L'argent sal ca ne m'intéresse pas. Et quand vas tu cesser de m'appeller comme ca !? C'est ridicule !
Il se contente de sourire.
On arrive c'est nana. Je sors pensant qu'il allait partir d'aussi tôt mais il descends.
Bosco: attends !
Moi: qu'est ce que tu me veux encore BOSCO.
Bosco: dis moi ton nom.
Il est sérieux là ? Enfin je lui répond et reprends mon chemin. Lorsqu'il m'attrape le bras.
Bosco: tu ne me fais pas entrer princessa?
Moi: non.
Et je me dépêche de rentrer.

*Dans la peau de bosco*
Je sais pas qui est cette fille n'y de où elle sort mais une chose est sur elle n'a rien à faire dans la favelas c'est bien trop dangereux pour elle. J'appel Marcelo.
Moi: allo, place cette fille sous protection j'interdit qui que se soit de la toucher.
Marcelo n'a pas le temps de répondre je raccroche. D'où vient elle, elle est si ... Jolie et simple pas vulgaire, le contraire de toutes les filles que j'ai pu voir jusqu'ici. Personne ne doit l'approcher. Elle va retourner d'où elle vient.

*dans la peau de Emma *
Wahou ! Enfin rentrer, la soirée se passe dans le calme, cette nuit il n'y a pas eu de coup de feux.
8h je me réveille, toujours le même petit mot sur la table, je vais encore me coltinais miss gang.
Enfin je vais me laver et je décide de déjeuner. Je suis seule à la maison lorsque l'on frappe. Je vais ouvrir, quand je vois Bosco! Que fait-il la ?
Moi: j'ai oublier quelque chose dans la voiture ?
Bosco: non viens tu est en danger.
En danger comment ca ?
Le temps que je réagisse il entre dans la maison, et me plaque au mur, nous sommes à quelque centimètre l'un de l'autre. Mes joues rosissent et je baisse la tête.
Bosco: tú sé Amedrentar amor.
Moi: non je n'ai pas peur ! Laisse moi.
Bosco: tu viens.
Il parle d'un ton sec, il paraît lui apeurer. Je décide de le suivre.
Je reviens à la villa, celle de bosco, durant le trajet aucun de nous à parler.
On monte dans sa chambre.
Bosco: tu dormiras ici, je dormirais dans le canapé. Il me montre le canapé pas loin du lit.
Je me contente de lui faire un signe de tête pour acquiescer.

FavélasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant