Chapitre 24

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       -- POINT DE VU D'EVA--

- Voilà ma chère Ophélie tu sais maintenant tout sur le magnifique pays la France *lui dis-je toute joyeuse*

- Merci j'ai aimé la partie ou tu parlais des magasins ..mdrr .. Vaut mieux que tu aille déjà chez James avant qu'il ne me fasse du bruit!

- J'ai l'impression que lui et toi c'est pas trop l'Entente...

- Tu as raison....

- Pourquoi?

- Écoute c'est trop long à raconter, une prochaine fois peut être mais pour  moment tu dois aller chez James il doit sûrement être au grand salon! Vas y et à plus

- Merci oph à plus

Je sortais de sa chambre et me dirigeait vers un couloir qui m'était inconnu et mystérieux. Il y avait juste une porte dans se couloir. Avec la curiosité, j'ouvris cette porte et entrais en m'assurant d'avoir bien refermer la porte derrière moi. Les chaises de cette pièce étaient très différentes de celle que j'avais vu dans le salon à mon arrivé. Les chaises de cette pièce étaient à fond de paille tressé et avaient, dans la pénombre, des reflets dorés. Le plancher, de vulgaire sapin pourtant, très vieux, était si bien encaustiqué qu'on y voyait comme dans un miroir le rectangle de la fenêtre. Cette pièce n'avait aucun rapport avec la maison. On aurait dit qu'on l'a prit dans une maison banale, pour la mettre ici... Mais malgré la banalité des objets, de la pièce elle même, je trouvais cet endroit merveilleux, mystérieux, et surtout intrigant. Je me sentais comme dans un village d'Indonésie. Le vent était d'une douceur apaisante. Le balancier de cuivre d'une horloge, au mur, battait à un rythme paisible. Je me sentais comme libre, soulager de tout fardeau et légère comme une plume. J'avais la terrible impression d'être dans un monde particulier, comme je l'ai toujours rêvé.. Le mien. Je ne pensait plus à rien, ni à Andrew, ni à James,mes deux principale préoccupation. J'avais envie de me sentir plus légère.. Je décidais d'enlever tout mes vêtements histoire de de mieux ressentir l'air chaud et doux qui traversait cette pièce depuis que j'y était entrer. J'étais en sous vêtements, je tournais dans la pièce en fermant les yeux. Je me sens comme libre, légère, je n'avait plus de mots pour décrire mon humeur à ce moment précis.
Je m'allonge sur le sol et ferme les yeux. J'entends la porte grincer et s'ouvrir. Je ne fis pas attention et continuais donc à profiter de ce merveilleux moment. Soudain, la porte s'est refermée avec délicatesse pour ne laisser entendre aucun bruit. Mais j'avais saisi que je n'était plus seule dans la pièce. Je me levais lentement, comme si on m'avait injecté un calmant pour cheval. Je n'avait pas envie de partir. Cette pièce m'a envoûté, elle m'a fait l'aimer. Tout était parfait. Aucun bruit,aucune personne désagréable, rien. Mais je devais la quitter. Soudain j'entendis une voix douce et charmante me parler.

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⏰ Dernière mise à jour : Aug 01, 2016 ⏰

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