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Baltimore. 11 novembre. 19h15.
Vicky.

Je suis en train de marcher avec Matt dans les rues déjà sombres de Baltimore.

D'ailleurs c'te vieille pieuvre qu'il est, marche grave vite, il est devant moi.

Limite j'dois courir, j'suis sur il sait même pas où on va putain.

Moi -criant : Matt, on va où ? J'suis sur que tu sais pas toi même !

Matt : Ta gueule et marche plus vite.

Moi -râlant : Oh j'te jure que si j'suis malade j'te déchire l'anus, et crois moi ce sera pire que ton petit caca de rien du tout !

Je sens un regard sur moi, je fronce les sourcils et tourne la tête.

Un vieil homme d'environ la cinquantaine.

Moi : Bah quoi ? Vous avez jamais parlez de caca de votre vie ? Constipé ? Consultez votre médecin.

Il murmure quelque chose dans sa barbe, le père noël est de retour.

Bon j'vais rattraper l'autre con.

Une fois à sa hauteur je me place devant lui, l'empêchant ainsi d'avancer.

Moi -croisant mes bras sur ma poitrine : J'ai faim, j'ai froid, j'ai mal aux jambes. Tu sais où on va, oui ou non ?

Matt -riant : T'es trop mignonne avec tes cheveux, et oui Vicky, on est arrivés, tourne la tête.

Je souffle et tourne finalement la tête.

Astre de mes jours, étoile qui me guide la nuit, oh toi mon amour de Macdonald.

Nous avons tout traversés ensemble.

Je saute dans les bras de Matt.

Moi : Demain j'me marie avec la mascotte de macdo et t'inquiètes même pas que tu seras le témoin Mattou !

Matt -rire : Allez descend ! J'ai faim.

Je souris et on avance en parlant brièvement.

Arrivé au macdo il y'a une espèce de folle qui essaye d'me prendre ma place mais je prends ma chaussure et l'a menace.

Moi : Écoute moi bien espèce de cruche, tu vas vite repasser derrière moi et mon pote l'otiste parce que crois moi, j'ai retiré ma magnifique godasse pour ta vieille face et ça c'est pas rien. Donc si tu ne veux pas te l'a recevoir dans les dents, j'te conseille de faire un jolie créneau et te garer derrière nous.

Je finis avec un grand sourire, dévoilant mes dents.

La fausse blonde s'exécute sans broncher, tandis que je remets ma chaussure.

Matt -secouant la tête : Oh la pauvre, elle pensait que t'était une naine sans défense.

Moi -haussant les épaules : J'suis un dragon, on m'cherche pas sinon j'brule c'tout.

Matt : T'es dingue.

Après avoir commandé, on monte se poser à l'étage avec nos plateaux, parce que d'après Matt c'est là ou y'a le chauffage.

Matt -mangeant : Alors Vicky, quoi de neuf ?

Moi -mangeant : Bah que du huit et toi ?

Il me jette une frite alors que je met mets à rire comme un sandwich au jambon.

Moi -riant : Allez casse toi !

✖️Socials 2. (magcon)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant