SOPHIA - Love d'un marocain.

25.

Je sors de chez moi tranquille & au bout de ma rue, j'ai vu Yanis. My God il était tellement beau, il s'était arrangé par rapport aux autres jours, il était mieux habillé. Il était tout simplement MAGNIFIQUE.

-Yanis *timidement* : Salut ça va?

-Moi : Oui & toi?

-Yanis : Ça va mieux, ouais.

-Moi : Bon écoute Yanis, j'ai bien réfléchis. Je suis prête à te donner une autre chance de toute façon, j'ai rien à perdre.

-Yanis *en me prenant dans ses bras* : Oh merci Sophia. W'Allah, je ferai pas le con.

Il m'a tellement serré fort dans ses bras que j'en avais mal à la poitrine.

-Moi : Mmh, c'est bon lâche moi.

-Yanis : Ahh... Tu veux bouger? Je t'invite.

-Moi : Non ça va, merci. En faite, je veux que tu m'expliques tout mais tout depuis le début avec Helena.

Il s'est donc posé parce qu'il savait que ça allait être long, il m'avait tout raconté du début à la fin.

-Yanis : Voilà, je t'ai tout dit.

J'aurai jamais dû lui demander de m'expliquer mais c'était ma curiosité.

-Moi : Ok.

-Yanis : Je suis encore désolé. J'ai fait le gamin. Bon viens on bouge, stp.

-Moi : On va où?

-Yanis : Chez moi, il n'y a personne.

-Moi : Ok, vasy.

On prend la route de sa maison, on marche tranquille & on arrive chez lui. Quand il avait ouvert la porte, j'ai regardé partout pour voir s'il n'y avait personne.

-Yanis : Viens Bé, rentre. Fais comme chez toi.

Je le rejoins dans la cuisine, il chauffait le repas que sa mère avait préparé avant de sortir.

-Moi : Yanis, j'espère que je ne fais pas d'erreur.

-Yanis : T'inquiète, je suis tellement content qu'on ai repris toi & moi.

Il avance vers moi & m'embrasse langoureusement, ce fut un long baiser tellement différents des autres que j'avais eu.
On va s'asseoir sur le canapé devant la télé mais avant, il me dit:

-Yanis : Enlève ton gilet, t'es pressée de partir ou quoi?

-Moi : Non, je veux pas.

-Yanis : T'as quoi?

-Moi : Je suis complexée par mes grosses fesses.

-Yanis : T'es sérieuse? Montre!

Je me lève, remonte mon gilet &...

-Yanis : Ohhhhh, putain!

J'ai rebaissé directement.

-Moi : Ce sont les gens comme toi qui me complexent.

-Yanis : C'est gros mais ça te va. On dirait les américaines avec leurs gros boules.

-Moi : Ok vasy, ta gueule.

-Yanis : Ta gueule?

Il est monté sur moi & a commencé à me chatouiller. Je déteste ça, je suis trop chatouilleuse.