-Mais maman....
-File je t'ai dit,tu devrais avoir honte de toi.
Du coup,je sentis les larmes me monter aux yeux,ma mère etait d'une mechanceté sans aucun egal,elle n'en avait strictement rien à battre de ce que je pensais et encore moin de ce que pensait mon père,tout ce qui comptait etait son point de vu à elle.Je guêtait mon père et lui lancait un regard accusateur qui n'avait malheureusement aucun effet sur elle.
-Qu'est ce que tu fais là planté comme un pic,vas-y file.
-Obeis mon coeur,je reste pour discuter un peu avec ta mère,monte.
Il se leva et me fit un petit bisous sur le front,il releva mon visage et me lanca l'un des sourires les plus chaleureux du momde comme lui seul savait le faire.
-Vas-y
Je me depechais d'obeir tandisque ma mere me lancait un regard mechant,je m'empressait de grimper les marches d'escalier à toute vitesse,je ne voulait surement pas etre le temoin du violent orrage qui se preparait entre mes parents,à peine avais-je ouvert la porte de ma chambre que ma mère ouvra les hostilités.
-Pourquoi essaies-tu toujours de defendre cette petite gourde Wyatt?Tu dois comprendre que ce n'est plus une enfant.
-Pour moi même à 40ans,elle restera toujours mon bébé note le bien.
-Et voila,tu l'encourages...
-Pourquoi n'essaies-tu pas de comprendre un peu plus ta fille?
-J'ai à comprendre à part le fait que c'est une satané gourde.
-C'est encore un miracle que tu ne l'ai pas comparé à Videline,cette petite que tu admires tant.
-Si seulement,elle pouvait etre ma fille.
A ces paroles,tout etait fin clair pour moi,pour ma mère je n'etait qu'une érreur,une déception,quelque chose qu'elle avait envie d'echanger pour autre chose mais beaucoup.Je n'avait plus aucunes envies d'ecouter la suite.Je rentra dans ma chambre,prit une bonne toilette complète,je brossais mes cheveux avec beaucoup de délicatesse,enfila ma robe et mes chaussures,un peu de poudre sur ce minois en colère et un peu de parfun,j'etait enfin prête quand ma mère me surprit dans la chambre sans cogner,elle me regardait fixement me detaillant de la tête au pied,il ne fallait surtout pas qu'on dise que sa fille n'était pas à sa hauteur,à la hauteur de sa fortune.J'etais assise en face de ma coiffeuse.
-Debout!
J'obeis sur le champ car pour moi,elle n'etait plus ma mère mais un dictateur.Elle s'approcha,decalla ma chaise sur le côté et se mit à tourner autour de moi histoire de voir si rien ne clochait,elle me ressera plus fort le noeud de ma robe,arrangea un peu mes cheveux à sa convenence puis vint se placer de moi et me dit:«là tu parais mieu présentable»
-Est-ce un compliment ou une menace?
-Prends le comme tu veux ma fille.
Elle attrapa mon chapeau et me le placa brusquement sur la tête.Elle me lancait toujours ce regard de defit,de dominatrice,histoire de me dire que c'est elle qui prends les decision
-Tu es prete ma cheri?
Avant que je ne m'en apercoive mon père etait là devant la porte de ma chambre,à chaque fois que je le vois,mon monde s'illumine,je lui repondis avev un enorme sourire que"oui"
-Alors on peu y aller?
-oui tout de suite papa.
Et d'un ton poli,je demandai le passage à ma mère.
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