Beauté éternelle

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Qui a dit que ma douce amie a perdu
son éclat d'or?
Qui a dit que ma sœur n'exhale plus
sa splendeur envoûtante?
Tu t'alarmes mon amie,
Tu t'alarmes de la fleur gracieuse de
ton corps divin, qui fane, dis-tu,
Mais vois comme tu es toujours sublime, déesse bantoue,
Beauté pure et noble, que par mon
chant, je veux fixer dans l'éternité,
Vois comme le poète est émerveillé.
Muse, tu ne laisses point le poète
indifférent, car il scintille en toi un charme si puissant,
Que tout homme y est sensible et subjugué.
Oui! mon amie est belle, tel le phénix
légendaire, qui brûle et renaît de ses
cendres.

Chants d'AmourDonde viven las historias. Descúbrelo ahora