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Alors la cétait le summum, il ma pris par le col de ma tunique, il serrait super fort, l'expression monter en l'air elle prenait tout son sens, pcq wallah avec une main il pouvait me faire voltiger. Il me regard avec ce regard de tueur en série, qui en aurait effrayer plus d'un. Jme débattais jle griffais, et wallah lui ca le fesait rire. Donc ca menervait encore plus, et jme suis mise a pleurer, jcriait comme une folle. J'avais mm pas hech' alors uon était en pleins milieu d ela cité et que n'importe qui pouvais nous voir....

-Mehdi : (en me relachant) Ecoute moi bien ptite gamine, toi et moi jcrois on a trop rigoler ensemble, refais c que ta fais et jte brise les cote

J'ai pas répondu jme suis contenter de partir, je pleurais comme une malade, j'avais tjr cette haine pour abdel, cest c qui me fesais le plus mal, et de voir mehdi faire semblant que tout allais bien ds sa vie et bein jsais pas ptete que jétais jalouse, et jvoulais quil est mal aussi ...

Jsuis aller a la boulangerie, et sur le chemin du retour il a fallut que je recroise mehdi et marwane. Jlui ai fait un bisou et jsuis passer, putin mehdi ce conard il voyait que jetais mal. Et lui il me regardais avec ce sourire moqueur, tsss. Et comme ca suffit jamais au moment ou j'allais traverser jai failli me faire renverser, cette voiture, jlavais vu de loin mais elle sest mis a accelere dun coup.

Sur le moment j'avais pas reconnue, mais lorsque jla voyais limite sur le trottoir cette voiture, jsuis resté paralysé, jsais pas pourquoi jetais la a attendre. Lorsque je l'ai vu sortir de a voiture, en me tuant du regard. J'ai voulu faire demi tour, mais cétait impossible. Il s'est approché de moi et ma dit de monter. Mais j'ai pas reagi ...

-Abdel : MONTES TA RACE

-moi : jrentre a pied

-abdel : (en me prenant par le bras) et vazy jai pas de temps a perdre

Jetais dans la voiture, il commencait a me crier dessus en me demandant pourquoi je ne répondais pas a ses messages, jrépondais pas. Javais ma tete entre mes mains..

-abdel : MOI JSUIS TON PD, JTAPEL TOUT LES JOURS TU DECROCHE PAS, TU JOUES TROP AVEC MOI, POURQUOI TU FAIS CA ? EIN?

-moi : crie pas

-abdel : TAGUEUL

-moi : CEST TOI TAGUEL, TU TES TROP FOUTUE DE MOI ABDEL A DIRE QUE TALLAIS CHANGER, MAIS TES LOIN DE TOUT CA, TETAIS OU? EIN? EN GAV, PENDANT QUE MOI JTROUVAIS DES SOLUTION POUR TE PRESENTER A MON PERE; ET CEST CA (en le pointant du doigt) QUE TU VX QUE JPRESENTE UN SHLAGUE COMME TOI; NON JCROIS PAS NON

Et jsais pas c qui m'a pris, jai fais une crise d'hystérie, jle frappait jpleurais jcriait sur lui de sarretais de me laisser partir, tout autour de moi était floue, il senervait aussi de son coté, et plus il senervait plus il roulais vite, il me disais de me taire, mais jvoulais pas jcontinuer a le frapper. J'avais mal, mal de cette amour, marre d'etre sa prisonière

A un moment j'ai remis ma tete entre mes mains, et jpleurais, jle suppliais de me ramener...

-moi : ramene moi stp, jai peur jveux rentrer

-abdel : kujzskhqgfqkrzusjhgfvqsjgnq (Cetait des cris jsais plus trop c quil disait lol)

-moi : abdel jai peur vais vomir stp

Mais rien n'y fesait il mécoutais pas, je pleurais, je pleurais, je regardais droit devant moi, mais je ne voyais rien, tout était floue, javais tellement de larme ds mes yx que je ne voyais rien. Mais cette douleur effroyable jlai ressenti....

Tout est gris...

Tout va vite ...

Je ne sais plus quoi penser ...

« Chronique d'Alham ; Paname Ghetto Love  »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant