la surprise

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VENDREDI

William était de retour et comme promis il avait amené pas mal des choses à sa Malaïka, il était arrivé et directement il avait informé Mirabelle.

William : je vais directement chez moi je suis fatigué je viendrai te voir le soir

📞 Non j'arrive te voir

William : d'accord mon amour à tout à l'heure

📞 Bisous

Il a raccroché

Cédric : comment était votre voyage ?

William : je préfère pas en parler, dépose moi je suis sûr que tu as des choses plus importantes à faire à l'hôpital

Cédric : mais je voulais vous voir et vous apporter votre voiture

William : c'est très gentil merci beaucoup

Il est arrivé chez lui et à l'aide de Cédric ils ont fait monté les bagages, Cédric avait laissé William il était parti à l'hôpital.
William : je vais prendre une douche... Non ma maison est sale je dois d'abord mettre un peu d'ordre
Il a arranger sa maison puis il est parti se laver, pendant qu'il prenait bain Mirabelle était déjà dans l'enclos, dans une robe et sandales avec son petit sac.
Elle montait les escaliers et elle était tombé sur Gladys qui descendait
Mirabelle : pardon je veux passer
Gladys : comme tu peux le voir je descends pour rentrer chez moi donc laisse-moi descendre, d'ailleurs tu cherches qui ici ? Tu t'es perdu ?
Mirabelle : non je ne suis pas perdue
Gladys : tu es une amie de Jonathan ? Ou de sa femme ? À part lui et sa famille il y a pas d'autres personnes ici
Mirabelle : faites-moi passé s'il vous plaît
Gladys : aah tu es venue voir William, et tu es qui ? Parceque moi je suis sa petite amie
Mirabelle : pardon ?
Gladys : tu es choqué ? Il ne t'a pas dit ? Bon je vais me présenter, je suis Gladys et William et moi nous sommes ensemble depuis maintenant longtemps, je savais qu'il me trompait mais je ne m'attendais pas à voir ma rivale aujourd'hui
Mirabelle : peu importe, poussez vous je sois montée
Gladys : non ma belle, mon chéri est trop fatigué et je veux qu'il récupère avant ce soir pour qu'il le comble de bonheur et passion qu'il me charge de sa chaleur
Mirabelle était en colère, Gladys avait réussi à l'énerver, elle avait tiré Gladys pour qu'elle sorte sur son chemin mais cette dernière n'avait pas d'équilibre elle était tombé
Gladys : tu es malade?
Mirabelle : j'ai pas le temps pour les bêtises
Elle était en train de monter, Gladys l'avait tirer par le sac qu'elle a ensuite abîmé
Mirabelle : tu veux des problèmes ou quoi ?
Gladys : descend ici si tu es une femme
Mirabelle : je vois que tu n'as pas toute ta tête je préfère monté
Elle a continué son chemin mais Gladys ne l'a pas laisser en paix, elle avait tiré Mirabelle par les cheveux en voulant se dégager elle s'était retrouver à terre et Gladys était au-dessus d'elle
Gladys : je vais te montrer moi
Gladys commençait et tapé Mirabelle, quand Mirabelle avait vu que c'était sérieux elle avait décidé de se défendre en renversant la situation, elle était au dessus de Gladys et elle commençait à lui donner des coups
Gladys la griffait et mordait, les enfants qui étaient au premier niveau commençaient à crier '' combat, combat''
William qui sortait de la douche en écoutant les cris des enfants, il est sorti regarder avec une serviette autour de sa taille.
William : Gladys ? Eeeh purée la boulangère ?
Il est descendu directement, pour séparer les deux femmes qui se battaient
William : ma chérie
Mirabelle était incontrôlable
Mirabelle : laisse-moi laisse-moi, elle va m'entendre
En voyant que Mirabelle était incontrôlable, William a décidé de la serrer fort contre son torse humide pour qu'elle se calme et ça avait marché jusqu'à ce que Gladys gâche tout
William : qu'est-ce que tu veux Gladys ? Tu n'as toujours pas compris ?
Gladys : c'est pour cette chose que tu ne veux plus de moi, regarde-moi bien , j'ai tout pour te combler William, n'oublie pas que si tu es cet homme aujourd'hui c'est en partie grâce à moi, cette fille n'a rien pour te combler, elle n'a pas des grosses fesses nindzs gros seins moins un gros cul
Mirabelle était de nouveau incontrôlable elle avait sauté sur Gladys, avec une main qui tenait la serviette William faisait de son mieux pour les séparer
William : à ce rythme elle risque de se faire mal
Il avait bien entouré la serviette puis il avait soulevé Mirabelle et il l'avait amené avec lui
Gladys : c'est pas encore fini William
Une fois dans son appartement, il a déposé Mirabelle sur le sofa avant de remarquer qu'elle était blessé à la cheville
William : regarde maintenant tu saignes, laisse-moi apporter la trousse de secours on doit soigner ça avant que la plaie ne soit infectée.
Il était parti dans sa chambre il avait porter une culotte avant de revenir auprès de Mirabelle avec la trousse de secours
Mirabelle : laisse-moi ne me touche pas
William : fais  pas ta gamine tu veux bien ?
Mirabelle : va soigné ta petite amie, je suis qu'une grosse cruche je pensais que tu étais différent !!! Mais vous les hommes vous êtes tous pareils
William : laisse-moi te soigné d'abord tu pourras m'insulter plus tard
Mirabelle : ne le touche pas je te dis
William : je le ferai de force alors
Il avait tiré les deux jambes de Mirabelle il avait déposé sur les siennes
Mirabelle : je t'ai dit de ne pas me toucher
William : tu sais tous les hommes ne sont pas pareils et puis entre Gladys et moi il y a rien du tout
Mirabelle : ah oui? Il paraît que je gâche votre amour je suis le bois mort
William : arrête de dire tout ça mon amour, je ne peux pas mentir il y a eu une histoire entre elle et moi mais ça date de longtemps maintenant, ne te prends pas la tête à cause de ça ma toute belle c'est toi que j'aime et si tu veux je peux te prendre en mariage même maintenant
Mirabelle : elle m'a dit que... Genre ...
William : oublie ce qu'elle t'a dit, Malaïka mon cœur m'a promis qu'il ne te laisserait jamais sortir peu importe ce que tu feras, tu es la seule qu'il a choisi, Gladys c'est mon cauchemar mais toi tu es ma réalité, mon bonheur et la couleur de ma vie, je peux même faire enfermé Gladys en prison pour coup et blessures volontaires en plus qu'est-ce-que tu veux que je fasse pour te montrer que c'est toi que je veux mes mots ne sont pas si puissants alors dis-moi.
Mirabelle : aime-moi pour toujours
William : tu n'as pas besoin de me demander car je t'aime et je t'aimerai
Après avoir bander sa blessure William a décidé de sortir faire quelque courses vu qu'il n'avait rien à manger
Mirabelle : que je t'accompagne ?
William : non reste là
Mirabelle : c'est pas comme si  je vais faire le trajet à pieds et puis tu ne sauras pas discuté
William : d'accord viens mais dès que tu as on va rentrer directement
Mirabelle : d'accord
Ils se sont rendus au marché, William avait laissé la tâche de discussion à Mirabelle vu qu'elle s'en sortait mieux que lui
William : tu sais que moi j'allais juste prendre ce morceau de boeuf à ce prix-là
Mirabelle : Dieu merci j'ai décidé de venir avec toi, tu allais gaspiller de l'argent
William : dans ce cas le reste de l'argent te revient, tu as bien mérité ça
Mirabelle : j'en veux pas moi, tout ce que je veux c'est un bon petit plat
William : d'accord dans ce cas je vais te faire ce bon petit plat
Mirabelle : toi ? Tu connais au moins bouillir de l'eau ?
William : aïe tu m'insultes là, je connais même préparer le thé
Ils ont rigolé, William a démarré la voiture ils sont rentrés à la maison. Une fois sur place William s'était lancé dans la cuisine pour faire un bon petit plat à Mirabelle qui était assise à la salle à manger.
William : j'espère que tu ne vas pas tomber amoureuse de mes mains
Mirabelle : non elles sont moites à mon goût, mais tu sais je suis tombé amoureuse de quoi en ce moment ?
William : de quoi ? Ma beauté ? Mon charisme ? Mon sourire ?
Mirabelle : rien à voir avec ce que tu dis, je suis tombé amoureuse de ce pull que tu as
William : voleuse, tu es qu'une voleuse toi
Mirabelle : et tu n'as encore rien vu
William : ah oui !? Tu m'as volé mon cœur, tu veux me voler mon pull et qu'est-ce qui va suivre ?
Mirabelle : je vais te volé ton nom, je ne blague pas moi désormais appelle moi Mirabelle de William
William : espèce de voleuse de mon cœur
Mirabelle : si tu ne fais pas vite c'est ton corps que je vais volé et mangé j'ai très faim
William : vas-y mangé moi
Mirabelle : sans façon je ne mange pas la viande de mouton
William : 😨 donc le mouton c'est moi ?
Mirabelle s'était levé pour fuir William, William lui avait laissé un peu d'avance parce qu'elle boitait puis il s'était lancé à sa poursuite
William : attend tu vas voir
Il l'avait attrapé et ils étaient tombés sur le canapé
Mirabelle : tu n'es qu'un tricheur
William : tous les coups sont permis en amour comme à la guerre
Mirabelle : je vais dormir un peu en attendant que la nourriture soit prête en espérant qu'elle sera bonne
William : il y a pas meilleur cuisto que moi sur cette planète
Mirabelle : retourne sur ta planète extraterrestre que j'aime beaucoup
William : je vais y retourner mais laisse-moi te servir à le repas
Mirabelle : d'accord
Il avait préparer du riz aux petits pois, les brochettes de viandes avec fruites de bananes plantain et un gros poisson qu'il avait grillé, William avait dressé la table et il avait invité Mirabelle et le rejoindre.
Mirabelle : j'espère que je ne ferai pas une intoxication alimentaire à cause de ce que tu as préparer
William : tu vas te régaler ma belle, allez mange
Mirabelle : je vais d'abord goutter la viande
Elle avait fermé les yeux lorsqu'elle dégustait la viande, qui était très délicieuse bien molle dans la bouche.
William : redescend sur terre Malaïka
Mirabelle : mais c'est bon, qu'est-ce que tu as mis à l'intérieur pour que ça soit comme ?
William : j'ai mis de l'amour
Mirabelle : uhmm j'adore c'est très bon, félicitations chef
William : je crois que je devrais pensé à ouvrir un restaurant
Mirabelle : tu veux me rendre jalouse ou quoi ? Tu sais combien des filles viendront juste pour t'admirer?
William : j'abandonne l'idée vu la façon dont tu me regardes on dirait que tu voulais me tuer
Mirabelle : je vais t' enterrer vivant
William: pardon j'abandonne l'idée
Ils ont mangé en se regardant, un regard remplit d'amour, respect, désir, admiration. Après avoir fini ils ont passé la reste de la soirée à suivre de films romantiques et c'était une découverte pour William.
William : tu pleures ?
Mirabelle : c'est tellement beau tu ne trouves pas ?
William : c'est ridicule, mais j'ai apprécié suivre ça avec toi
Après la séance ciné William avait déposé sa dulcinée et il lui avait remis tous les cadeaux qu'il lui avait amené

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⏰ Última actualización: Apr 07 ⏰

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