𝐯𝐢𝐢𝐢. 𝐜𝐡𝐚𝐩𝐭𝐞𝐫 𝐞𝐢𝐠𝐡𝐭 : 𝚝𝚑𝚎 𝚏𝚒𝚛𝚜𝚝 𝚏𝚎𝚎𝚕𝚒𝚗𝚐𝚜

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Alors que nous nous arrêtons pour contempler le paysage nocturne, Oscar prend doucement ma main dans la sienne, un geste simple mais chargé de significations

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Alors que nous nous arrêtons pour contempler le paysage nocturne, Oscar prend doucement ma main dans la sienne, un geste simple mais chargé de significations. Je me tourne vers lui, captivée par l'intensité de son regard, et m'emmène doucement à l'intérieur.

Sons sourire joueur s'illumine.

— Voulez-vous danser ? me demande-t-il, ses yeux brillant d'anticipation.

Un frisson d'excitation parcourt mon échine.

— Avec plaisir, réponds-je, le cœur battant avec anticipation.

Nous nous dirigeons vers la piste de danse, et bientôt nous nous laissons emporter par la musique envoûtante, nos corps se mouvant en parfaite harmonie. Je me sens libre, vivante, et plus proche d'Oscar que jamais.

— Dis moi, tu ne vas pas faire comme tout à l'heure ?

— De quoi ? demandé-je perdu.

— Ce que tu viens de faire à ton cavalier de tout à l'heure avant que tu te mange le sol, dit-il alors que je rit au éclat.

— C'était juste une technique pour qu'il s'éloigne de moi.

Oscar rit doucement, ses yeux pétillants d'amusement.

— Tu es vraiment une aventurière, Thalia, dit-il avec admiration. Mais je te promets que je ne vais pas m'éloigner de toi.

Je lui lance un regard taquin.

— J'espère bien que non, réponds-je avec un sourire espiègle.

Nous continuons à danser, nos mouvements devenant plus fluides et synchronisés à mesure que nous nous imprégnons de la musique enivrante. Je me sens de plus en plus à l'aise en sa présence, chaque geste et chaque regard renforçant notre connexion.

Pendant que nous dansons, nos conversations deviennent plus intimes, échangeant des rires et des histoires de nos vies respectives. Je découvre qu'Oscar est bien plus qu'un simple cavalier, mais un homme avec ses propres rêves, ses propres passions et ses propres défis à surmonter.

— Tu sais, je n'ai pas vraiment l'habitude de danser avec une princesse, avoue-t-il avec un sourire timide.

— Et moi, je n'ai pas l'habitude de danser avec un pilote de course, réponds-je avec un clin d'œil complice. Mais je dois dire que ça me plaît bien.

Nous continuons à danser, perdus dans notre propre bulle, ignorant les regards curieux et les murmures qui nous entourent. Pour ce moment, il n'y a que nous deux, liés par la musique et l'alchimie naissante entre nous.

𝐌𝐘 𝐖𝐎𝐑𝐋𝐃 - ​𝙊𝙨𝙘𝙖𝙧 𝙋𝙞𝙖𝙨𝙩𝙧𝙞Where stories live. Discover now