Dans un monde où les frontières sociales sont aussi rigides que les virages d'un circuit de Formule 1, l'histoire improbable d'amour entre le jeune pilote australien de F1, Oscar Piastri, et la princesse grecque, Thalia, va défier tous les obstacles...
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𝙋𝙊𝙑𝙊𝙎𝘾𝘼𝙍
Je suis dans mon propre bureau, entouré d'autres ingénieurs, devant mon ordinateur. Je consulte les messages que j'ai reçus.
"Jeff : Nous avons reçu de nouvelles pièces pour ta monoplace. Les autres nouvelles pièces arriveront dans 12 jours."
"Dre : Nous avons reçu les nouvelles améliorations R&D. Va vérifier ton tableau d'amélioration R&D."
Je quitte le tableau pour examiner la progression de ma monoplace, puis je décide de consulter le calendrier de la saison.
— Ça va être une longue saison..., murmurai-je en baillant, ressentant déjà la fatigue s'installer.
Alors que je contemple le calendrier de la saison, je sens le poids des mois à venir peser sur mes épaules. Les courses à venir, les défis techniques et les rivalités sur la piste se profilent à l'horizon.
Je prends une profonde inspiration, chassant la fatigue de mon esprit.
— Allez Oscar, n'abandonne pas, c'est ta deuxième saison en Formule 1, parlé-je à moi-même.
Je prends une profonde inspiration, chassant la fatigue de mon esprit alors que je me parle à moi-même avec détermination.
— Allez Oscar, n'abandonne pas, c'est ta deuxième saison en Formule 1, me dis-je, sentant un regain de motivation m'envahir.
Je me rappelle les défis surmontés lors de ma première saison, les leçons apprises et les progrès réalisés. Je me concentre sur les objectifs à atteindre, sur les courses à venir et sur les opportunités à saisir.
Avec chaque respir, je renforce ma résolution de donner le meilleur de moi-même sur la piste, de repousser mes limites et de viser l'excellence à chaque tour.
Des mains s'appuient soudainement sur mes épaules, me faisant sursauter de surprise. Un rire moqueur à l'accent britannique, que je reconnais immédiatement, résonne dans mes oreilles.
— Connard de britannique, dis-je en secouant la tête avec un sourire.
— Tu n'as même pas remarqué ma présence ! dit Lando en se moquant de moi, son rire remplissant la pièce.
Je me tourne vers lui avec un sourire amusé, reconnaissant la présence de mon collègue et meilleur ami sur lequel je peux toujours compter pour me remonter le moral.
