𝚃𝚊𝚜𝚗𝚒𝚖𝚎 - 𝚂'𝚊𝚒𝚖𝚎𝚛 𝚙𝚘𝚞𝚛 𝚎𝚝𝚛𝚎 𝚊𝚒𝚖𝚎𝚛

05.

As Salem Aleykoum.

Bonne lecture

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Eren : pourquoi ? Tu lui as parlé ?

Moi : non, il m'a juste intrigué.

Eren : ouais bref t'approche pas de lui

Moi : je ne comptais pas le faire et pourquoi donc ?

Eren : Ibrahim, il te fracassera.

Lol.

On est arrivé devant le bâtiment, on entre, eren va vers tous les hommes qui sont assis.

Eren : bref, vasi.

J'avance en direction des escaliers, je commence à monter et arriver chez moi, il y a un mot sur la table "maman et esma dorme chez la belle-sœur à maman, moi, je dors chez enes, je pense pas qu'Ibrahim rentrera à plus zaim."

Enes c'est mon cousin.

Super, je me retrouve seule.. Je vais dans ma chambre, prendre des habits de rechange, puis vais me laver, m'habiller, prier et prendre soin de ma peau.

Je m'allonge et réfléchit à tout depuis le début avec safiane cela m'arrive souvent.

Le problème, c'est qu'après, j'ai mal au cœur, je pense trop et me sens couplable, j'aurais dû lui dire dès le début que ce n'était qu'une connaissance pas un ami ou autres, l'amitié filles garçons n'existe pas en islam.

Je ne l'ai jamais aimé comme il aurait voulu que je l'aime et je m'en veux terriblement de ne pas lui avoir fait comprendre, je n'éprouve rien pour lui, a une époque j'avais réussi à me persuader du contraire, mais il faut bien admettre la vérité.

Moi : comment vais-je faire ?

Des larmes coulent, des larmes dues à la frustration que je ressens, des larmes de colère, ces larmes représentent ce que je n'arrive plus à dire, mais ce que je ressens au plus profond de moi..

J'éclate en sanglot.

Moi : dans quoi je me suis embarqué.

J'ai mal au cœur... Se retenir de pleurer encore et encore n'est jamais bon, mais le problème avec moi, c'est que je ne sais même pas ce que je ressens.

Les larmes brouillent mon visage, je rattache mes cheveux pour pouvoir avoir le contrôle de ce que je fais, alors je pars dans la salle de bain pour me rincer le visage et respirer calmement.

Je vais dans ma chambre, met un voile et sors ma tête pars la fenêtre.

Moi : je le déteste !

C'est une chose que je fais souvent quand j'ai du mal à respirer quand l'homme de tout ta l'heure arrive.

?? : tu veux te suicider ou quoi ? T'es vraiment conne, en fait ?! Ta pas finie de me faire chier aujourd'hui.

Moi : mais ?

J'ai envie de rigoler, mais je n'en n'ai pas la force, ni le courage.

?? Mais quoi ? En dirait une handicapée, tu sors par la fenêtre, tu cries, tu crois, c'est chez ta mère ici ?!

Oui.

?? : bref ta g-

Je claque la fenêtre avant qu'il finisse sa phrase, je le vois froncer les sourcils et mal me regarder, alors je ferme mes volets et mes rideaux.