L'enfant devient un soldat

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Né et élevé sur les quais d'un port,

Marchant dans le sang et les tripes,

Les voiles et le moral sont tous à leurs fort

Un jour fatidique, à Quel'Elore,


Les cris de terreur fend le vert azur,

Les ennemis à nos portes furent,

J'ai vu mon père se battre, sans abandonner,

Sur le navire nous sommes tous montés.


"Faites la différence, prouvez votre valeur.

Ils sont déjà mort, ne cédez pas à la peur"

Le capitaine, la corde, il venait de trancher,

Les voiles baissées, il s'enfuit apeuré.


Au loin mon père, je l'ai vu tomber,

Le noir cavalier tous les a relevé,

Vivant ou mort ou entre les deux,

Il devient alors l'un de ces être belliqueux.


Sur les flots nous naviguons,

Vers le sud notre route nous traçons,

Nous observons cette noire étendue.

Sur les côtes, les terres sont toutes perdues,


Une cité, la lumière, de l'espoir,

Amaigri nous descendons,

Pour moi il n'y a nul victoire,

A Hurlevent je vécu l'abandon.


Ma mère rejoint les cieux,

Un enfant pâle et affamé,

Par un chevalier est remarqué,

Le spectre l'observe, curieux.


L'orphelin prend les armes,

De pêcheur il devient écuyer,

Par l'effort, du sang et des larmes,

Le courage grandit, il allait se venger.


Le roi des morts vient de se réveiller,

De son courroux, il menace le monde entier,

Horde et alliance vont le confronter,

L'orphelin enfin va pouvoir se venger.


Je ne peu pas oublier son apparence,

De la confiance et des vies qu'il a brisées,

Tant mon cœur et ma rage gronde,

Mon effort rejoindra celui du monde.


Lancez-vous, j'apporte les lames,

J'apporte la joie, je soutiens le moral,

Nul blessure ne vous sera fatales

C'est submergé, que nos âmes s'enflamment.


Je traverse ma liste, c'est comme un livre,

C'est au sommet que tu es, noir cavalier,

Serviteur du roi des mort, tu ne peut encore vivre

Je compte bien te pourchasser, t'éliminer.


Une place pour toi, dans ce sol pourri,

Sang est glace, le corps meurtrie,

À genou, je ne partirai pas sans toi,

Ma lame planté, tu es enfin à moi,


Mon regard se ferme, mon corps a froid,

Entouré de mes frères, tous tomber,

C'est au loin, le bon chevalier, qu'il me dit, de sa voix,

"tu ne tombera pas, j'ai jurer de te protéger"


Dans le camp des chevalier,

D'argent et d'Ébène, je fut amené,

Ils prirent le temps de me soigner,

Le roi des morts était proche de tomber.


Sur les routes parsemée de glace,

Mon maître et moi avançons,

Les morts ne voulait pas que l'on passe,

Mais il était dit que nous les purifierons.


Tous nous sommes tomber,

Dans ce piège où ils nous ont mené,

Mon maître mort et ma lame brisée,

J'observe sans peur la mort arriver.


Le hurlement d'un orc au loin,

Les loups guidant cette troupe si sauvage,

Vargrom approchait la hache en main,

Par le col il m'a attrapé, alors qu'il continuait sa charge.


A nouveau en vie, j'étais changé,

Mes amis et proches étaient morts,

Mon esprit vers la folie approcher du bord,

Cet orc, de la mort il m'en avait sauvé.


Par les hommes, la haine était inspiré,

Vers la Horde mon regard se portait,

Ils combattent, vivent et mange,

Ce sentiment de les rejoindre est étrange.


Le roi des morts était tomber,

Vers mon pays je me suis tourné,

Les elfes ne semblait m'apprécier,

De par mes origines de sang-mêlé.


Vers Orgrimmar je me suis tourné,

Un orc j'ai choisi d'approcher,

Ma lame lui sert à me tester,

De ma résolution, il vient de constater.


En Durotar je fut amené,

L'orc compte bien me former.

Une brigade de guerre m'entourent,

L'entrainement me torture chaque jour



Je vais y parvenir;

Enfin, j'aurais un bel avenir

Je le sent, je le sait,

Enfin, je suis digne de mon épée !

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⏰ Dernière mise à jour : Mar 22 ⏰

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De fils de pêcheur à soldatOù les histoires vivent. Découvrez maintenant