Réveil difficile

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Moi : Camille... J'ai soif. Je peux avoir un peu d'eau ? Ton pied ne me désaltère pas... Cette nuit il n'a pas arrêté de produire dans ma bouche et j'ai encore plus soif.

Camille : Attends.

Elle regarde son pied dans son plastique. Le sachet est plus rempli qu'hier. C'est trouble... ça ne donne pas envie...

Camille : Tu as de quoi te faire un verre je pense. Je boirais bien plus dorénavant pour bien produire. Tu veux boire ça maintenant ou tu attends une heure comme prévu ?

Moi : ...

Je veux un verre d'eau frais moi.

Camille : Tu peux attendre une heure. Rassure-toi, pendant le petit déjeuner je vais bouger mon pied à fond pour t'en donner plus.

Camille met ses bottes en adaptant le plastique tant bien que mal pour le dissimuler. Faut dire que ce pied doit baigner dans sa production. Ça ne doit pas être très agréable en marchant... Enfin... avec Camille. On ne sait pas.

Elle prend soin de m'attacher le cou au deux pieds bas du lit pour bloquer ma tête au niveau de où elle pose ses pieds habituellement. Je suis toujours nu. Mes mains sont toujours attachées dans le dos, et mes pieds sont liés. Moi qui avais songé à me rendre en douce dans la salle de bain en sautillant pour boire. C'est mort.

Camille : Allez, j'ai faim. Ce matin c'est petit pain en plus j'ai trop de la chance ! Mais je ne t'oublie pas. Je t'assure qu'avec moi tu ne devrais pas avoir si faim ni soif que ça.

Elle prend une voix douce et attentive. Je suis son jouet. Son expérience.

Dîtes-moi les fétichistes

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Dîtes-moi les fétichistes. Seriez-vous prêts à subir autant juste pour assouvir Camille ? Sacrifiez vos repas, votre odorat, votre goût, votre vie rien qu'à eux ?

Pendant l'heure d'attente. J'ai beaucoup réfléchi à ce que je pouvais faire... Tout en sentant la peau de mon visage tendue. Son pied m'a complètement marqué. Je le ressentais déjà en moi, mais maintenant c'est également sur moi physiquement.

L'option rusée serait de me soumettre entièrement à elle pour regagner sa confiance. Mais vais-je tenir jusque-là ? Ou sinon, quand elle fait son footing, y aurait-il moyen que j'aie plus de liberté de mouvement pour tenter de me libérer de mes entraves, trouver des vêtements, et fuir ? Compliqué...

Je n'ai pas résolu la question que Camille est déjà de retour. Toute sa famille a quitté la maison. Elle s'assoit sur le lit sans me détacher le cou. Je suis donc couché dos sur la couette à l'envers sans pouvoir bouger.

Elle retire ses chaussures, lâche un soupir de soulagement limite sexuel. Et enlève son plastique de torture.

Camille : Pas mal. Promis, je ferais mieux cette après-midi. Et puis, tu pourras boire un peu en léchant mon pied après aussi.

Elle me tend son plastique. Je peux voir qu'il contient bien un verre et demi de ce que produit son pied... Je me refuse d'ouvrir la bouche !

Camille : Tu n'as plus soif ?

Moi : Mh...

Camille : Quoi mh ? Tu n'auras plus rien à part ça je te rappelle. Si tu veux te laisser mourir, c'est toi qui vois. On ne pourra pas dire que je n'ai pas essayé de te sauver avec mes pieds. En plus c'est délicieux, regarde.

Elle sent dans son plastique, elle retire sa tête brusquement. Elle souffle en fermant son nez avec une main.

Camille : Houla. Ça c'est bien. Tu vas bien le ressentir au moins. D'accord ce sera fort mais il faut te former à ça de toute façon tu en conviendras.

Si même Camille ne supporte pas, comment pourrais-je le faire ?

Camille : Donc tu ne veux pas boire ?

Je fais signe d'une réponse négative avec ma tête.

Camille : Tu sais quoi ? Je ne peux pas laisser passer ça. De base, j'aurais conservé le liquide pour après. Mais...

Elle cherche un objet dans un de ses tiroirs.

Camille : Voilà !

Elle sort un entonnoir. Elle vient me serrer avec ses mains le bord de la mâchoire pour me forcer à ouvrir la bouche. Puis elle enfonce son objet dans ma bouche qui vient frôler ma gorge. Et prends très vite soin de bloquer avec sa main les sorties d'airs possibles pour que je ne respire que via l'entonnoir.

Camille : Allez. Bonne dégustation !

Cet enfoir* de pied à bien produit ! Je vais jamais réussir !

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Cet enfoir* de pied à bien produit ! Je vais jamais réussir !

Elle verse d'un seul coup tout son plastique dedans. Je sens un liquide chaud et piquant remplir ma bouche à toute vitesse. Si je ne veux pas me noyer, je dois avaler en urgence. Je prends une première gorgée qui s'enchaîne avec une seconde et une troisième. Je n'ai pas le choix puisqu'elle a tout balancé.

Le fait de déglutir à répétition me fait respirer de temps en temps par le nez quand je peux. Cela décuple le goût et l'odeur. Ce pied a clairement pris plus cher en force que l'autre avec qui j'ai passé toute la nuit ! Je sens des sueurs froides me parcourir. Je suis affaibli sur le coup. Mon estomac fait les 400 tours.

Camille : Voilà. Maintenant, tu boiras ou tu auras ça. Compris ? Je vais te détacher le cou. Il est déjà 8h ne traîne pas. Tu dois sentir 30 min ce pied, 30 l'autre. Et ensuite tout pareil mais tu lèches, tu me suces les orteils, tu nettoies bien avec ta langue. Allez.  

  

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Ses pieds m'ont changéWo Geschichten leben. Entdecke jetzt