Chifuyu x reader

Chapitre 4: une certaine injustice...

Miko: Les filles j'ai un mauvais pressentiment...

Tout as coup je ressens une montée de stress, les pressentiments de Miko se révélaient toujours juste. Je me lève avec la forte impression qu'on aurait du partir depuis longtemps. Je la fusil du regard en repensant au bruit en dessous des quais, on aurait du en parler et sincèrement.

Tp: Miko...

Miko: Tp...

Unzary: Euuuuh...

J'entends du bruit qui vient de dehors et Miko aussi, les autres sont trop occupées à parler.

Miko et Tp: On se casse !

Miko: Et rapidement !

Emma: Mais pourquoi ?!

Je prend mes affaires et ouvre rapidement la porte du train je m'entaille avec le fer érodé, je saigne un peu mais ce n'est pas grave.

???: Police ! Je vous arrête pour intrusion sur un lieu publique non-autorisé !

Tp: Mais... quoi ? Je regarde derrière lui et vois Ozomashi Būtsurikkā.

Ryoku: Ce batard nous a balancé !

Unzary: Oh non pas lui ! Elle grimace, il lui rappelle un mec quelle détestait et déteste toujours encore, rien que le fait d'être dans l'a même salle la met en rogne. Heureusement qu'il a déménagé, je sinon je donnerai pas cher de sa peau.

Le mec de la police: Bon vous êtes des mineurs je vais vous ramener au poste et appeler vos parents.

Il parle dans son takiwaki et nous regardent en même temps. Miko murmure.

Miko: Je crois qu'il nous détaille a ses collègues.

Unzary: Je vais prendre cher.

Ryoku: Je l'avais dit, je l'avais dit...

Emma: Mon frère va te frapper Tp.

Tp: C'est pas comme si ça changeait de d'habitude.

Miko: Vous m'écoutez même pas... Dit-elle d'un aire dépité.

Miko: Mais qu'est-ce que je vais faire de vous.

Le mec de la police range son takiwaki dans une de ses poches intérieur.

Le mec de la police: Bon jeune homme partez vous n'avez plus rien à faire ici.

Ozomashi Būtsurikkā: Hein mais pour-

Le mec de la police: Partez cette histoire ne vous concerne plus, de plus que pour nous avoir rapporté ces informations vous tout autant sécher que ces jeunes filles ici présente.

Unzary: Ouais c'est ça casse toi ! Elle lui tire la langue et Ryoku lui fait un doigt. Emma la regarde bouche bée

Ryoku: Bah quoi ! C'est pas comme si il était tout blanc non plus.

Le mec de la police nous encadre et nous fait rentrer dans les couloirs sous les quais on marche en prenant des airs de racailles .

Le mec de la police: Vous avez de la chance que ce ne soit pas un délit classé majeur, sinon j'aurais été dans l'obligation de vous placer en maison de correction hahahaha.

Tp: Frère y'a rien de drôle.

Unzary: Mais quel humour de merde.

Miko: Vous voulez un talisman qui améliore votre humour.

Tp: Ou sinon un talisman qui améliore tout simplement ses chances de pécho.

Le policier ne répond même pas, il avance sans rien dire jusqu'au poste de police où il nous fait entrer, puis assoir dans une salle de garde à vue et il salue ses collègues en passant. On attend une heure et demie avant que le grand père de Miko, le propriétaire et prêtre du temple de Karisuma n'arrive pour la récupérer, elle lui promet de travailler tous les week-ends au temple si il ne la prive pas de sortie.

Au bout de dix minutes ce sont les parents de Ryoku qui arrivent et qui la sermonne bien, ils lui disent qu'ils la croyait plus mature et plus sensée et ils s'excuse plusieurs fois devant la police avant de partir avec elle, elle leur fait d'ailleurs un magnifique doigt qu'ils ne voient pas bien sur.

Après deux bonnes heures c'est le père de Unzary qui arrive, il la prend violemment par le bras et dit au policier qu'il n'a la pas bien éduqué et qu'il allait y remédier dès ce soir en s'excusant, Unzary avait sûrement envie de hurler.

On est resté sourdes.

Bientôt c'est ma sœur qui est arrivé, avec un journal plié en éventail dans les mains, sauver moi s'il vous plaît.

Hisaé: Si je te reprends à faire des dinguerie comme aujourd'hui je te renvoie en France chez nos chers parents.

En sortant j'aperçois Mikey et Draken, qui arrivent pour récupérer Emma, je leur fais signe mais chère sœur me frappe avec son journal, je sais qu'elle ne les aime pas.

Ellipse de trois heures:

Hisaé: Tp range correctement les assiettes s'il te plais !

Tp: Oui oui.

Hisaé: Ah et mets la table pour demain matin.

Tp: Mais fais le toi !!!

Quelqu'un toc à la porte, c'est assez faible mais assez insistant.

Hisaé: je vais ouvrir, toi continue de ranger.

Tp: Ok sympa.

J'entends plus rien.

Hisaé: Euuuuh Tp viens vite s'il te plaît ?

Tp: Qu'est-ce qui ce pas- oh merde !

Tp: Unzu ça va ?

Je me précipite vers elle pour la retenir avant qu'elle ne tombe, elle était couverte de sang et avait des bleus partout sur le corps, elle avait aussi des marques de brûlure sur le corps...

Et c'était ma faute.

Tp: Han... han.

Je viens de me réveillé en sursaut, essoufflé et prise d'une forte douleur à la tête. Je suis dans ma chambre mais j'ai une étrange sensation...

Tp: Arrrrgh qu'est-ce que c'est.

J'ai appris plus tard quand Unzary c'est retrouvée à l'hôpital.

Tp: J'étais sur le toit... quand... quand j'ai glissé et il y avait quelqu'un, une personne qui m'a rattrapé !

Je je tente de me relever de mon lit quand j'entends du bruit provenir de la cuisine.

Que son père a été arrêté par la police, mais Unzary s'est révélé être dans le coma.

Je prend le couteau qui se trouve dans m'a table de nuit, on perd pas ses bonnes vieilles habitudes, et me dirige discrètement vers le couloir.

Alors personne ne pouvait témoigner des violences que lui faisait subir son père depuis onze ans et l'affaire a été placée sans suite.

j'ouvre doucement la porte et marche lentement dans le couloir. J'entends une voix, et me rapproche pour mieux l'entendre.

Depuis ce jour, j'ai redouté le mois de septembre, il est devenu, pour moi, hostile, froid et rugueux, comme le fer... comme le fer érodé de cette porte de train un jour de pluie, où nous avions été égoïstes et aveugles...

Fiers et Muettes...

Stupides et sourdes...