Tu t'appelles tp/Tn et tu est né en France. Et j'ai plus d'inspi 😅...
Nan je rigole faut lire c'est tout.
Alors c'est ma première fan-fiction , soyez indulgent s'il vous plaît. Il exactement 00:53 je viens de me réveiller à cause de mon chat qui fo...
Emma: Les filles j'en ai marre de vous attendre tout le temps ! Emma se tenait à la grille comme au barreaux d'une prison et secoue violemment le grillage.
Miko: Ok on arrive. Elle n'attend même pas ma réponse et passe à travers le grillage entrouvert par Unzary qui rigole silencieusement, mais elle me lance quand même un regard emplie de sens, je sens qu'elle inquiète mais ne laisse rien paraître.
Je me baisse pour passer et je soupire d'agacement.
Tp: Arrrrh sa me soule.
Unzary: Hein... quoi, t'as dit quoi ? Elle était entrain de se relever.
Tp: ...
Au début je réagis pas encore concentré sur ma pensée puis je la regarde.
Tp: Euh rien absolument rien t'inquiète.
Je me relève et regarde une dernière fois derrière moi.
Je compris plus tard que j'aurais du regardé avec plus d'attention ou en parler au autres même si pour ça il fallait les inquiéter et gâcher l'ambiance, enfaite on aurait du juste écouter Ryoku dès le départ.
Unzary: Aller viens c'est toi qui sais ou faut aller.
Tp: Oui... c'est vrai.
C'était ma faute.
Je me dirige avec Emma vers le train abandonné, elle me parlait de tout et de rien.
Emma: C'est la notre cachette. Elle court jusqu'au train et je lui ouvre la porte en métal, Elle glisse un peu et je sens l'érosion du métal sous mes doigts, c'est rugueux et froid.
Comme le mois de Septembre a partir de ce jour.
Emma: Venez, venez, installez vous chères amies.
Ryoku: C'est pas un taudis.
Miko: Ça va ça passe.
Unzary: En vrai je m'attendais à pire.
Je l'ai regarde avec un regard de haine.
Miko: Je rigole c'est stylé, on dirait les cachettes dans les romans.
Unzary: Je rigole moi aussi, je crois que si mon père me frappe encore, au lieu d'aller chez vous je viendrai ici, surtout que la pluie passe pas et que c'est plutôt confortable. Elle le dit en rigolant mais c'est pas drôle.
Ryoku: Nan moi je le pense. Trop sympa meuf.
Je referme la porte, et on commence à s'installer. On parle et rigole, le temps passe vite et on ne voit pas que la pluie s'est arrêté.
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