Trahir Camille ?

Depuis le début
                                    

Camille : Tu vois. Ce n'est pas... dur... continue. Je veux que tu le fasses en entier.

Je masse son pied de plus en plus fort tout en respirant son odeur. Sans déplaisir ni plaisir pour autant. Et je finis même par sucer ses orteils pour tester ses réactions. Elle déboutonne alors son pantalon, passe l'une de ses mains au niveau de son entrejambe, puis elle se met à la bouger et gémir bruyamment. Surpris, je marque une pause.

Camille : Oh non, tu t'arrêtes pas.

Elle me frappe son pied en plein visage.

Camille : Continue.

Je ne vois pas bien sa tête car elle est entièrement couchée et je suis au bord de son corps. Mais les mouvements qu'elle fait lentement sur le lit avec sa main inoccupée montrent qu'elle prend son pied (sans mauvais jeux de mots). Elle agrippe sa couette, la relâche, tend sa jambe libre, le glisse vers elle, son dos cambre de temps en temps. Et moi de mon côté, excité par cette situation, je me mets à bander fortement et m'applique sur son pied.

Ses gémissements se transforment en grognements sexy. On sent que son excitation monte à petit feu. Néanmoins elle retire son pied de mes mains. Faut dire que je l'ai bien usé, cela doit faire déjà dix minutes que je le sens, lèche et suce à tout va. Elle me jette son autre jambe dans ma direction.

Camille : Maintenant, fais l'autre. Et sens bien avant de le nettoyer avec ta langue. Je veux que tu ressentes toute la douleur qu'a eu mon pied à l'idée que tu ne veux pas de lui.

Rien que le fait d'avoir son pied emballé dans sa chaussette et chaussure proche de moi. Je peux sentir déjà une odeur puissante émaner de lui. Je ne peux pas. Résultat, je ne bouge pas durant plusieurs secondes, et Camille stoppe le mouvement de sa main lui faisant du bien.

Camille : Allez, retire tout et sens-le. Tu attends quoi ?

Moi : Camille... Je ne peux pas.

Camille : Faut que je fasse tout moi-même.

Elle se redresse en avant et enlève sa chaussure. Elle retire ensuite sa chaussette tout doucement.

Le voilà donc

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Le voilà donc... Son pied puissant et fort qu'elle a décidé de ne pas laver exprès

Camille : Ah ça fait du bien de le libérer.

Aussitôt libre qu'une odeur immense monopolise la pièce. Son pied semble moins luisant que tout à l'heure, certainement car Camille est rentrée plus tôt de ses cours aujourd'hui et qu'elle ne bouge plus depuis des heures. Mais pour autant, sa chaussette semble soufferte de sa sueur vue les marques dessus et son pied également. On voit qu'il est usé dans les zones de contact avec le sol.

Par contre. Tout semble propre. Ongles parfaits, pas la moindre particule noire. Si je n'avais pas d'odorat et que je n'étais pas attentif à sa peau plus gonflée due à la présence de peau usée et sueur, j'aurais pu croire qu'il est lavé à l'instant.

Camille : Tu as vu ? J'en prends soin. Je fais attention qu'il soit chargé que de ce que je produis. Et c'est tout. Maintenant. Tu sais ce que tu dois faire.


Elle projette soudainement son pied vers mon visage en écartant les orteils. Par instinct, je relève mes bras et repousse son agression. Comment veut-elle que je sente ça ? Je mourrais sur place ! Le problème maintenant est que j'ai possiblement lancé un peu trop fort sa jambe. Au point que Camille bascule de son lit et se retrouve... pied-à-terre.

Camille : Pu... T'es pas sérieux toi. Tu ne tiens pas à ta vie.

Elle fixe son pied odorant au contact de son plancher. Sa main encore sur le lit qui servait à la retenir de sa chute est crispée et fermée. Sa poitrine gonfle d'énervement et Camille fronce les sourcils.

Camille : Tu viens de niquer mon pied que j'avais préparé depuis 4 jours pour toi. Maintenant il est bon à être lavé !

Même si elle est énervée. J'ai la satisfaction d'avoir trouvé son point faible ! Elle ne supporte pas de devoir marquer avec ses pieds s'ils se retrouvent touchés par autre chose qu'elle ou ma tête. Héhé. Adieu son marquage de 4 jours.

Camille : Tu sais quoi ? J'en ai rien à faire.

À ses mots. Elle fait un jeu de jambes furtif dans lequel je me retrouve perdant et coincé. Je ne sais pas si elle fait du sport de combat, mais le haut de mon corps se retrouve coincé entre ses jambes et mes bras sont coincés avec. Qu'est-ce que...

Camille : Ça, tu vois, c'est ma chaussure de mon pied de 4 jours. Je ne peux pas remettre mon pied dedans vu que tu l'as ruiné. Ne bouge pas !

Me débattre paraît impossible. Et plus je tente de glisser un bras vers le haut pour le libérer de ses jambes, plus elle sert et cela me coupe les voies respiratoires.

Camille : Donc regarde. Je vais mettre mes jolies chaussettes de 4 jours dans la chaussure. Je vais prendre ma chaussure. Qui au passage je les porte depuis plus d'un an. Et tant pis pour toi !

Sa main équipée de son mélange chaussette et chaussure se lance sur moi. Elle vient plaquer l'ouverture au niveau de mon nez et ma bouche et elle appuie. Elle appuie. Elle appuie. Au point se sentir la chaussette enfoncée dedans venir se coller à mon nez. Et bien entendu, elle a pris soin de mettre le côté où il y avait les orteils du côté du trou de la basket. Sa chaussette est tout humide, tout comme sa chaussure. Je me retiens de respirer.

Camille : Tu aurais pu sentir et lécher mon pied quelques minutes. Tu vas maintenant sentir ça des heures, tu m'entends ?

Elle serre d'un coup sec ses jambes. Vidant l'air de mes poumons pour me forcer à inspirer. Je... Je ne vais pas avoir le choix.

 Je ne vais pas avoir le choix

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Ses pieds m'ont changéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant