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Chapitre 9 - Capitalisme [Jack]

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CHAPITRE 9

Capitalisme

[Jack]

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UNE HEURE PLUS TÔT

Enfin, nous sommes arrivés dans ce centre commercial, nous allons devoir faire face aux médias. Tandis que notre groupe s'apprête SIMPLEMENT faire les courses, je me suis placé dans un magasin de shopping. Dans mon oreillette, j'entends les sottises de Ryverse.

— Eh, Jack, tu veux te faire belle ?

J'ai levé les yeux exaspéré de sa remarque en utilisant mon sarcasme imparable pour lui renvoyer (en toute amitié) le compliment.

— Non, juste être original, l'ami.

Un homme pose sa main sur son épaule et pointe son magnum sur moi.

— Mets tes mains en l'air ! C-c-criminel !

Il a vraiment peur de moi ? M'en voilà dessus. Je suis juste venu faire quelques courses.

Gentiment, je me suis tourné pour contacter Ryverse et Haros.

— Les gars, et si on annulait nos courses ?

Haros gueule dans mon oreillette.

— Contente-toi de suivre les ordres Jack !

J'ai frotté mon chapeau, puis, je me suis tourné vers celui-ci... il est partit. Evidemment.

— On a un petit problème. Un lutin à échapper à son cadeau de noël, il a une quarantaine d'années, voire une cinquantaine. Il est équipé d'un magnum.

— Il est ou !?

Demande Ryverse, je sentais de la joie dans sa voix.

— En direction d'un garde, près du fast-food.

L'Oméga est arrivé et a planté le garde et le lutin y est passé aussi. Il m'envoie un signale depuis l'oreillette pour annoncer sa mort.

— Deux cibles éliminées. Un lutin et son père noël.

— C'est quoi un lutin et un père noël ?

La question de Haros fut perturbante.

— C'est bien Haros, reste innocent.

— Jack, Ryverse, ou êtes vous ?

— Je suis en train de faire du shopping.

Ryve' ne répond plus à l'appel. J'ai commencé à m'en inquiéter un peu.

— Haros, tu sais ou est Ryverse ?

Aucune réponse aussi.

Génial.

Je part à leurs recherches, tout en commençant par allumer ma cigarette. J'ai sorti mes deux flingues, en clignant des yeux le plus vite que je peux afin d'avoir l'œil pour viser. Des tas de gens pointent leurs armes. Un de ceux-ci fonça vers moi en criant. En me fiant à son cri, j'ai su viser les yeux fermés. La balle lui parvint. Il était à l'arrière, je l'ai entendu tomber. Sans m'arrêter de marcher, un second arrivé, mais face à moi. Deuxième balle sur six du même pistolet. Le trou dans son crâne choquent les gens.

Rien qu'un soupir.

Vers ma gauche, un homme arrive armé d'une masse. Vieux comme il était, la masse était trop lourde pour lui. J'ai tiré une balle de mon second flingue dans sa tête. Une mort rapide, et sans douleur. Rien de mieux pour une personne âgée. Quand j'atteins le magasin principal, un quatrième s'approche. Beaucoup plus hésitant que le lutin de tout à l'heure. Celui-ci, je l'ai regardé, et ensuite, je l'ai tiré dans l'estomac. Il s'effondra au sol contre la caisse d'accueil.