La lune pleurait ce soir-là,
C'était l'heure de la sorcière et je me rappelle de ton sourire,
Regard perçant qui suppliait mon corps en mauvais état,
Sur le gravier sale, de dépérir,
Vieil ami, je ne veux pas perdre mes repères,
L'inconnu me pèse et cette stabilité me console,
Même si les vagues pestent contre mon être,
Me dévorent et que j'en perde le contrôle,
Nouvel ami, partage tes plus belles chansons,
Qui te font perdre raison,
Pour que j'oublie mon corps qui me démange,
Avec larmes et dépendance dans mon estomac qui gonfle,
Qui me font demander à quand les papillons.
YOU ARE READING
quelques notes amochées
Poetryquelque part sur la rive, j'essaye de guérir, j'attends que la douleur s'estompe, que les journées s'effondrent.