« 𝐍'𝐃𝐎𝐖𝐀 »

Chapitre Vingt-huit.

— Continue tu vas rester.

Melchi — Le chauffeur là il est où même.

C'est Divine qu'il appelle Chauffeur là même ?

Je lui ai lancé un regard comme pour lui dire : « Tu es sûr de ce que tu dis »

Il a éclaté de rire.

Divine vient quelques secondes après.

Il prends place côté conducteur.

Je n'ai pas pû m'empêcher de le regarder.

Tout en noir. Ça lui va bien.

Il avait fait une parfaite queue de cheval que même nous là on sait pas faire.

Son parfum qui m'a tabassé là.

Parfois j'ai l'impression que les parfums pour homme sont plus meilleurs que ceux des femmes.

Il remarque que je le regarde et me souris.

Venez me tenir.

Je souris aussi.

Melchi — Amour sur nous ou ?

Il a reçu un coup de pied de Strate.

L'enfant là me donne la honte.

Le sourire de Divine s'est élargie puis il a démarré.

— C'est le moment !

Melchi — C'est le moment Willy Dumbo.

— C'est le moment !

Melchi — C'est le moment d'aller à Ni York.

Entre-temps je remarque que Divine ne conduisait pas.

Il affiche une tête de quelqu'un qui a sursauté.

— Miskine il est entouré de fous.

Melchi — Fou rire Il va lire l'heure.

Mawa pour lui hein.

Depuis l'épisode de notre visite chez ma mère et aujourd'hui. Beaucoup de jours se sont écoulés.

Je dirai que tout était bien par la grâce de Dieu. Depuis ce jour-là , Divine fait des efforts avec les jumeaux.

C'est pas l'amour fou mais déjà ils parlent bien.

Ce soir nous allons chez le père de Divine. Il est rentré des États-Unis hier et il a voulu qu'on se retrouve en famille.

Les jumeaux sont très contents. Moi c'est Divine qui m'inquiète là. Vous vous rappelez de comment il parlait à son paternel.

Le gardien ouvre la grille. Nous entrons et Divine gare la voiture un peu plus loin.

Après qu'il ait coupé le moteur. Nous descendons de la voiture et nous marchons jusqu'à l'entrée.