Gp Explorer 2 (part final)

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Je souris et Mathis fit mime de vomir avant de dire à Maxime :

— On fait la pression à Irène, mais toi aussi merde pas frérot.

— T'es drôle toi. C'est toi qui va faire la course ?
fit remarquer Maxime.

— Non en vrai on compte sur vous. On a confiance.

— T'es good vibe aujourd'hui, bizarre.
déclara Élian.

— J'suis toujours good vibe j'sais pas tu veux quoi.
rétorqua Mathis.

— Mouais...
marmonna Élian.

Il était l'heure de partir. On s'était fait un câlin de groupe avant d'y aller, puis on était monté en voiture pour se rendre au circuit.

Pendant la route, une boule au ventre s'était créé en moi, mais ça allait sûrement passé.

Dès qu'on était arrivé à destination et qu'on était sortit de la voiture, moi et mon frère, j'avais expiré un grand coup. À croire que juste s'y rendre m'avait fatigué.

On devait tous d'abord prendre un petit déjeuner. C'était le plat le plus important de la journée. Je n'aimais pas forcément les petits déjeunés, mais je ne refuserais jamais une bonne tasse de café.

J'avais toujours mon casque sur mes oreilles, mais Maxime me l'avait enlevé en venant s'asseoir en face de moi avec une tasse de café.

— Alors ?

— Alors ?
répétai-je.

— Ça va ?
demanda t-il.

— Moyen, moyen. J'suis entre l'excitation et le stress. Ça donne un mélange bizarre. Mais toi ça va ?

— T'es là avec moi, alors je vais bien.

Je lui donnai un coup de pied sous la table et il lâcha un petit crie de douleur avant de demander :

— J'ai fais quoi encore ?

— Rien.

— Pourquoi tu me frappes alors ?

— Parce que je t'aime plus que tout.

— C'est comme ça que tu me le montres ?
questionna t-il en riant.

— Oui.
répondis-je en lui faisant un bisou volant.

Je vis Mathis arriver de loin et me faire de grands gestes de mains avant de venir à côté de nous.

— Eh j'vous mens pas j'ai trop hâte que ça commence.
déclara t-il.

— Comme tout le monde. Sinon on se serait déjà casser j'pense.
fis-je remarquer.

— J'le répète, j'suis fière de vous.

Il tapota sur nos dos un peu brutalement, puis repartît tout souriant. Il respirait la joie de vivre et stressait beaucoup moi que nous.

Sérénité Where stories live. Discover now