Sérénité

14.

Juillet était mon mois préféré. Pas seulement parce que y'avait mon anniversaire. Juillet ça sentait l'été à plein nez. J'aimais la vibe de ce mois et pour commencer ce mois, enfin après quelques jours du commencement de ce mois, direction Marseille.

J'étais dans le train avec Maxime, Djilsi et Manas. Je les avais harcelé sur la fashion week parce que j'y étais allé avec Léna.

— Regardez, c'est qui ? C'est moi !
m'exclamai-je en leur montrant une photo de moi à la fashion week.

— C'est fou comme tu es narcissique.
fit remarquer Manas.

— C'est bien de s'aimer parfois. Vous êtes juste des haters. Il est où Maxime ?

— C'est pas ton copain qui va t'aider hein.
rit Djilsi.

On avait finalement officialisé avec Maxime, après de nombreuses discussions. Ça avait été compliqué, très compliqué. On ne l'avait par contre pas annoncé sur les réseaux sociaux. Je préférais attendre, parce que justement j'avais prévu de l'annoncer dans une vidéo youtube qui me tenait beaucoup à cœur.

— Théodort il est vient demain à Marseille ?
questionnai-je.

— Ouais normalement. Nous on a déjà l'hôtel en tout qu'à. Lui il va prendre une chambre à part, comme toi.
expliqua Djilsi.

— On est bien de...

Je glissai de ma valise, se qui m'empêcha de finir ma phrase. Quel idée de s'asseoir sur une valise alors qu'il y avait des chaises ? Heureusement, il y avait que les gars qui m'avaient vu tombé comme ça. Pas envie de me taper la honte devant tout les passager du train.

Je me relevai en vitesse et les gars étaient mort de rire.

— Vous m'aidez même pas bande de traite. C'est ça des amis ? Autant ne pas en avoir.
déclarai-je en partant du wagon pour rejoindre Maxime qui était partit au toilette.

— Mais non revient Irène.
rit Djilsi.

— J'vous parle plus.

Je vis Maxime juste devant moi entrain d'essuyer ses mains sur son t-shirt et dès qu'il me vit, il me sourit.

— Y'a quoi ?
demanda t-il.

— J'suis tombé.
répondis-je.

Il éclata de rire et je le regardai en haussant les sourcils, puis je repartis du côté où je venais de venir.

Maxime essaya de me retenir en me prenant par le bras, mais j'enlevai mon bras de son emprise et rejoignis les autres idiots qui s'étaient moqué de moi.

— Excuse nous Irène, mais si c'était nous t'aurais ris aussi.
s'excusa Djilsi.

— Oui et alors ?
avouai-je.

— On arrive bientôt les gars.
nous informa Maxime.

Je m'assis sur une chaise cette fois pour éviter de tomber une deuxième fois et mis ma valise entre mes jambes.

Je sortis mon téléphone et lançai ma playlist dans mon casque en attendant qu'on arrive. Je trainai un peu sur les réseaux sociaux, puis on arriva à Marseille.

On s'était directement diriger vers l'hôtel dès que nous fûmes arriver sur les terres marseillaise.

Arriver à l'hôtel, on nous donna les clés de nos chambres. On prit l'ascenseur pour monter à nos chambres qui étaient côte à côte.