Gp Explorer 2 (part 2)

Mulai dari awal
                                    

— Dit lui aussi qu'on arrête pas de l'harceler d'appel.
rajoutai-je en passant le téléphone à Grim presque en le jetant, voulant absolument m'en débarrasser.

— C'est qui Alexis ?

— Qu'est-ce que j'en sais moi ?
répondis-je sèchement.

Je partis, parce qu'on devait aller s'entraîner sur le circuit. Mais cette histoire m'avait vraiment empêcher de faire de bon temps. Je savais que je pouvais faire mieux, mais c'était qui Alexis ? Ça en devenait presque une obsession et je détestais ressentir ça.

— Ça va Max ?
demanda Djilsi en s'approchant de moi pendant que j'étais entrain de regarder mes temps sur le circuit.

— J'ai des temps de merde. Un peu comme toi, mais en pire.

Djilsi vint s'asseoir à côté de moi pour regarder mes temps.

— C'est vrai que tu fais de la merde là. Y'a un problème ?

— Non aucun. J'dois juste pas être réveillé.
mentis-je.

— À d'autres. Raconte moi tout. J'suis là pour t'écouter.

Je soufflai bruyamment en basculant ma tête en arrière. Je me tournai vers Djilsi, un peu honteux de lui avouer.

— J'aimerais passer plus de temps avec Irène.
marmonnai-je en évitant de regarder Djilsi dans les yeux.

— C'est juste ça ? Bah dit lui.
rit-il.

— Ouais, mais on passe la majorité du temps ensemble de base. Là elle parle avec tout le monde et je sais à quel point c'était difficile pour elle d'être sociable il y a quelques années. Je ne veux pas l'empêché de parler aux autres.

— Et y'a aussi le gars qui l'a appelé tout à l'heure.

— C'est Théo ou Grim qui t'en a parlé ?
demandai-je.

— Les deux.
répondit-il.

— Tu sais pas non plus c'est qui ? Même Grim ne sait pas, alors qu'il connaît tout les amis d'Irène.

C'était ridicule, mais j'avais vraiment peur de la perdre.

— C'est normal d'être jaloux Maxime.
m'informa Djilsi en posant sa main sur mon épaule.

— J'fais des temps de merde juste à cause de ça. J'ai honte.

— Tu devrais lui en parler plutôt que de rien dire. Ça serait dommage de s'embrouiller avant la course.
me conseilla t-il.

J'haussai les épaules. Je ressemblais à un enfant qui ne voulait pas avouer la bêtise qu'il avait fait et je me trouvais encore plus ridicule. J'avais peur qu'on s'embrouille, qu'elle me trouve stupide, qu'elle s'énerve parce que j'avais voulu fouiller son téléphone ou encore pire, que cette histoire de tromperie soit vrai.

Après avoir discuter avec Djilsi, j'avais fais de meilleurs temps que tout à l'heure et j'avais rejoins Irène, Lucas et Billy après avoir finis.

Sérénité Tempat cerita menjadi hidup. Temukan sekarang