Nouvel Univers VII

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Je n'entendis plus de bruits pendant un certain moment qui me paru interminable. Le silence fut brisé par la voix puissante du Maître qui s'exclama :

« - musique.

L'orchestre derrière lui se mit à jouer. La musique était belle, puissante, excitante, magique. Des frissons parcouraient ma peau, quand j'entendis le bruit des chaises autour de la table. Elles étaient agitées par quelque chose. Les chaises bougeaient de plus en plus proche de moi. Je les entendais de mieux en mieux. Il arrivait. Enfin. Près de moi. Sous la table.

Un souffle vint alors effleurer l'intérieur de mes cuisses. Toujours plus de frissons le long de mon corps. Je brûlais. Je n'osais même pas respirer. Ma chatte mouillait toute seule alors qu'il ne l'avait même pas encore toucher. Soudain je sentie sa langue humide se poser sur mon sexe tremblant. Un gémissement de soulagement s'échappa de mes lèvres. Enfin... Enfin...

- Bouffez moi. Dévorez moi la chatte. J'en peux plus...

Pas de réponse, sa langue passait méticuleusement sur mes grandes lèvres, en évitant délibérément mon bouton de plaisir. Mon bassin s'agitait sur ma chaise. Je n'en pouvais plus. J'avais envie de crier. Je voulais qu'il me dévore. Là maintenant. Je voulais éclater d'un orgasme si puissant qu'il me couperait la respiration. Je voulais m'envoler et ne plus jamais redescendre de mon nuage de plaisir. Mais cette langue si chaude me faisait languir. Me torturait.

- Haaaa...

Malgré ça, mon plaisir était si grand que je ne pouvais m'empêcher de soupirer de bonheur. Sa langue passait sur mes lèvres, lapait ma mouille, titillait mon trou. Me poussait au bord du gouffre, sans jamais me donner ce que je voulais, sans jamais me laisser chavirer. C'était une torture exquise. Je n'en pouvais plus, mes gémissements devenaient de plus en plus insistants.

Soudain, sa langue se posa sur mon bouton de plaisir. Pile là où je brûlais d'envie. Ce simple touché me fit pousser un cri et me tordre sur ma chaise. Sans que je comprenne ce qu'il se passait, des mains vinrent se poser sur mon corps. Partout. Je n'arrivais pas à les compter. Je ne pouvais pas bien réfléchir. J'avais enfin sa langue sur mon clitoris, mon esprit était embué par le plaisir, je ne comprenais rien. Les mains me caressaient. Aucune parcelle de mon corps n'était mise de côté. Les mains commencèrent à me déshabiller. Qui étaient ces gens ?

Ma question fut vite éclipsée par le plaisir fou que me procurait le cunni que je recevais. C'était si doux, si précis, si bon. Je gémissais encore et encore. Ca y est, les mains m'avaient déshabillée. Je ne portais plus rien. Elles me caressaient, me frottaient, tiraient sur mes tétons, les pinçant, m'excitant encore plus. La musique qui retentissait dans mes oreilles m'entouraient et me faisait oublier où j'étais. Ma mouille coulait sur ma chaise. J'étais évanouie dans le plaisir. C'était une expérience troublante et à la fois délicieuse. Je n'arrivais pas à penser à autre chose qu'à cette langue qui me caressait comme si elle savait pile ce que je voulais. Je n'en pouvais plus. C'était trop bon.

Soudain un ricanement se fit entendre à l'autre bout de la pièce. Au dessus de la musique. me faisant sursauter. Je m'arrêtais soudainement de bouger, tout mes sens en alerte. Est ce que c'était bien ce que je croyais ? Non. Mais ça ne pouvait être autre chose. Aucune autre voix ne me faisait cette effet. Si je l'entendais à l'autre bout de la table, qui était entre mes jambes en train de me lécher la chatte en ce moment même ? Je m'agitais, un peu paniquée, quand le maître me coupa dans ma réflexion.

- Vous êtes si belle entourée de tout mon personnel...

Je rougis de honte. Je voulais me soustraire de toute ces caresses mais c'était impossible. Les mains venaient de partout, sans arrêt, et la langue sur ma chatte me faisait bien trop de bien pour que je puisse agir efficacement.

- Vous...Haan...putain... Vous m'avez menti...

- Moi ? Enfin, je n'ai jamais promis de venir. Je vous donne le plaisir que vous voulez en ce moment même.

- Haaa...Je...

- Ne vous fatiguez pas et profitez. Que vous êtes drôle... Vous pensiez vraiment que c'était moi entre vos jambes ? Vous auriez déjà jouit depuis longtemps. A l'heure qu'il est vous seriez déjà emportée par la folie.

-Ne vous flattez...haan oui !

je ne pouvais pas m'empêcher de gémir. Le cunni était de plus en plus intense, tout comme la musique, la vitesse et l'intensité montait crescendo. Je poursuivais :

- Ne vous flattez pas trop... Je n'ai aucune preuve.

Encore une fois, ce rire. Il ricana avant de se lever. Comment j'avais pu croire que c'était lui auparavant ? Sa présence était si évidente. Alors qu'il s'approchait, l'air autour de moi s'alourdissait. Mes sens étaient en alerte maximale me rendant encore plus sensible au traitement que le personnel m'infligeait. Ma chatte coulait abondamment. J'étais morte de honte à l'idée du spectacle pervers que je lui offrais, sans même le vouloir. J'étais pourtant celle qui l'avait demandé.

Il se rapprochait encore. Ma peau brûlait de plus en plus. Même si je ne le voyais pas, mon corps en entier était attiré par lui, comme un aimant. Je sentais sa présence, je pouvais deviner exactement où il était. Alors, je le sentis au dessus de moi. Géant. Écrasant. Magnifique. Je gémissais. Encore. Encore. Encore.

La langue lapait mon clitoris rigoureusement. La musique était devenu enivrante, elle recouvrait mes gémissements. Les mains me rendaient folle. Mes tétons étaient sans cesse stimulés, comme tout le reste de mon corps. Mes cuisses, mes épaules, mon cou, mes hanches, mon dos...tout.

Soudain, elle s'arrêtèrent toute. Plus rien. Juste une main. Une main. Sa main. Aucun doute. Elle était immense, elle me brûlait, mais me soulageait en même temps. Il attrapait mon visage me faisant relever la tête vers lui.

- Jouissez. Maintenant.

J'explosai. Ma mouille gicla de ma chatte sur le visage de la personne entre mes jambes. Cette dernière m'avait fait un si bon cunnilingus, mon orgasme ne voulait pas s'arrêter. La langue s'agitait encore sur mon clitoris. Je jouissais encore et encore. Mon corps tremblait dans tout les sens, mes mains étaient agrippées aux accoudoirs de mon trône de plaisir. Mon visage quant à lui ne bougeait pas. Dans sa main. Je le sentais m'observer alors que je jouissais comme une folle. Je le savais, il souriait. J'en était sûre. Je sentais son regard perçant sur moi. Mon excitation était à son paroxysme. Je ne savais pas ce qu'il m'arrivait. Tout ce que je savais c'est que mon orgasme était si fort. Mon corps en entier le ressentais. Mon esprit n'était plu rien. J'étais perdue. C'était un plaisir que je n'avais encore jamais ressenti. Rien ne pouvait me retenir. J'avais envie de me donner entièrement. Comme si mon existence entière ne se résumait qu'à cette main. Sa main...

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⏰ Last updated: Sep 18, 2023 ⏰

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