¥•°•°~Fantasmes ~°•°•¥ (Kawata brothers x reader)

十七

J'ai vécu du vole, je ne vais pas me faire prendre aujourd'hui.

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Pardonnez-moi de mon absence, je suis vraiment désolée !

Mais maintenant je peux vous promettre que je me donnerais à fond dans mes histoires pour me faire pardonner.

Je sais que ce petit mot ne suffira peut-être pas, mais j'essaierai de vous faire plaisir dans se chapitre.

Bonne lecture.

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Tp: Putain...

Je me trouvais actuellement dans l'un des bureaux du repère Tokyo Manji Gang. Un énorme building de plusieurs étages et de richesse.

Je regardais l'ordinateur donnant une grande majorité des informations du bâtiment que je devais cambrioler. Plusieurs tasses de café se trouvaient au sol ou sur le bureau, montrant que j'avais travaillé et réfléchi pendant plusieurs jours.

Une semaine s'est écoulée depuis, je cherchais toujours un moyen de pouvoir m'introduire et ressortir du bâtiment sans risquer de me retrouver avec une course poursuite aux fesses.

Tp: J'ai besoin d'un café. Vite.

Je me suis levée, habillée d'un simple jogging noir et d'un sweat large et noir. Je marchais pieds nus vers le couloir pour chercher un endroit où l'on sert le café.

Après plusieurs dizaines de minutes de recherches, je décide d'abandonner. Je me suis alors assise sur le sol en posant mon dos contre le mur derrière moi.

Ennuyeux...

Je soupire avant de vérifier mes poches.

Je n'avais plus mon portable.

Mes mains se sont logées dans mes cheveux, puis mes yeux se sont ensuite fermés. J'ai commencé à respirer lentement pour réfléchir correctement.

J'ai payé les frais médicaux de mon père. J'ai essayé de trouver un autre travail. Maintenant je dois trouver un moyen de m'introduire dans la maison d'un homme riche. Et puis, Nahoya et Souya...

Merde, je n'ai pas le temps pour l'amour.

Mais... Je ressentais vraiment de l'amour pour eux ? Pour deux personnes ?

Rien que d'y penser mon cœur bat tellement fort que j'en entend les fameux "doudoum".

J'ai soupiré avant d'entendre des pas autour de moi. Une personne. J'ai alors levé la tête, mon regard croisant des yeux claire comme l'herbe parfaitement entretenue d'une forêt.

Tp: Matsuno.

Chifuyu: Que fais-tu au sol ?

Tp: Je-

Chifuyu: Si tu penses que tu peux te reposer, c'est franchement or de questions. Tu voulais tout organiser, alors maintenant je te conseille de te reprendre.