Chapitre Dix-sept.

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Moriah — Love sur nous mainon.

— Tchip. Tati j'y vais.

Tante Eliora — Fais attention.

— T'inquiètes.

Je tchek Noâm et quitte la demeure sans accorder de l'importance aux deux chômeuses là.

Je monte dans ma voiture et démarre direction l'hôpital.

Je m'inquiète juste. C'est pas de l'amour.

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Je prends l'ascenseur. Je l'ai fait transféré dans l'espace VIP afin qu'elle reçoive les meilleurs soins.

J'ouvre la porte de la chambre.

— Qu'es-ce que tu fais là ?

Aya — D-Divine.... c'est toi...e-euh...

— Qu'es-ce que tu fais avec ce masque à oxygène !?

Aya — Elle ne...elle ne respirait pas bien...du coup j-j'ai..

— Ne me racontes pas ta vie ! Tu fais quoi là ?

Dis-je en refermant la porte.

Aya — Je suis venue la voir. Je ne peux pas le faire ?

— Je sais pas pourquoi t'es là mais tu sais ce que tu vas faire ? Tu vas te servir de tes pieds et quitter cet hôpital.

Aya — Je prends juste soin d'elle.

— Pour ça je suis là. C'est ma femme pas la tienne Aya.

Aya — Ohhh ta femme ?

— Sors.

Aya — Tu t'inquiètes ?

— Sors.

Aya — C'est mignon vraiment.

— 1.

Aya — Mais comme toutes les autres elle finira par partir et te laisser. Elle va t'abandonner !

— 2.

Aya — Comme ta mère et comme...

— 3.

Je l'ai bien saisi par ses cheveux avant de la balancer avec toute ma force hors de la chambre.

Aya — POUR QUI TU TE PRENDS ! MES CHEVEUX ! DIVINE !

— Plus jamais. Je dis bien plus jamais tu t'approche d'elle tu comprends ?

Aya — Tu vas me le payer.

— T'inquiètes pas. Je vais te donner l'argent tu vas me faire payer avec.

Aya — Espèce d'insolent ! Je n'ai pas ton âge !

— Alors comporte toi comme une vielle et va te trouver une maison de retraite.

« 𝐍'𝐃𝐎𝐖𝐀 »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant